Critique
«Astérix et Obélix», le pire du milieu
La gigaproduction de Guillaume Canet, chargée de redonner vie au cinéma français en remplissant les salles à ras bord, a les épaules bien trop frêles pour cette tâche. Gorgée d’un trop-plein d’idées qui tombent à plat, la marmite de potion se révèle bien froide.