C’est quand même non. Le 12 septembre, le festival Ciné-Palestine s’insurgeait contre la programmation à la Fête de l’Humanité de Oui, nouveau film de l’Israélien Nadav Lapid, qui devait être projeté dans le cadre d’un cycle dédié à la Palestine : «Nous condamnons ce choix inacceptable, pose le communiqué. Sous une apparence critique, Oui participe en réalité à la normalisation de l’Etat israélien, en donnant une image culturelle légitime à un système co
«Choix inacceptable» 
Boycott culturel : pourquoi plusieurs collectifs propalestiniens disent non à «Oui», le film de l’Israélien Nadav Lapid
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Bien qu’il fustige violemment son pays, le film du cinéaste a bénéficié de financements publics israéliens et participerait ainsi, selon les partisans du boycott, à la «normalisation» d’un «système colonial».
A la Fête de l'Humanité, le 12 septembre à Brétigny-sur-Orge. (Bastien Ohier/Hans Lucas. AFP)
ParArthur Cerf
Publié le 17/09/2025 à 6h37
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