Après avoir arpenté l’histoire de sa famille paternelle dans «Leur Algérie», Lina Soualem s’attèle à l’autre versant en tissant un portrait riche et sensible de trois générations de femmes palestiniennes dont sa mère, l’actrice Hiam Abbass. Lire notre critique.

Grâce à une accumulation de bonnes idées minimalistes, Bruno Dumont déride le registre épique à la sauce intergalactique en pays chti. Lire notre critique.

Le dernier film du Sud-Coréen Hong Sang-soo, puzzle de temporalités où l’imaginaire et le réel cohabitent, donne avant tout à voir le cheminement artistique du cinéaste prolifique et touche-à-tout. Lire notre critique.

Ana Vaz signe un premier long métrage où la caméra, comme un œil, capte les animaux «réfugiés» dans Brasília à l’heure du Covid et l’atmosphère de science-fiction qui règne dans la capitale. Lire notre critique.

La biographie de Nicholas Winton, qui sauva 669 enfants de la Shoah, trouve le ton nécessaire à ce délicat exercice. Lire notre critique.

Le film indonésien, sous couvert de dénoncer l’horreur, s’y complaît totalement, jusqu’à l’indigne. Lire notre critique.

Le film posthume produit par Jacques Perrin, réalisé par David Oelhoffen, suit des légionnaires en Indochine dans une marche forcée, éprouvante, sans surprise. Lire notre critique.

Pour son premier film, Jason Yu démarre très fort, avant de s’essouffler à mi-parcours. L’ensemble reste intrigant et prometteur. Lire notre critique.

Le film d’animation du chinois Tian Xiaopeng, d’abord rafraîchissant par son réalisme, se laisse finalement engloutir par les banalités et une interminable course à l’émerveillement. Lire notre critique.

L’Allemand Timm Kröger se lance avec malice dans un voyage vertigineux aux confins des mathématiques et de l’astrophysique. Lire notre critique