Isabelle Huppert est venue à Cannes pour présenter la Femme la plus riche du monde de Thierry Klifa, dans lequel elle joue un personnage très fortement inspiré par Liliane Bettencourt.
La première image ?
Charlot patine (The Rink, 1916). Mon père me le projetait.
Le chef-d’œuvre dont tout le monde vous parle et que vous n’avez jamais vu ?
Blade Runner de Ridley Scott.
Un film secret qui en sait long sur vous ?
Qu’est-il arrivé à Baby Jane ? de Robert Aldrich… Je plaisante ! (rires)
La bande originale qui vous trotte dans la tête ?
La musique de la Porte du paradis de Michael Cimino signée David Mansfield. Quand je l’entends, j’ai le cœur qui bat.
Un film où il ferait bon vivre ?
High Society de Charles Walters. Pour Louis Armstrong qui chante pendant le générique, pour Frank Sinatra et Bing Crosby quand ils chantent en disant «when the stars collide…»
Votre palme d’or favorite ?
Quand passent les cigognes de Mikhaïl Kalatozov, en 1958. Un des premiers films que j’ai vus à la télévision. Pour Tatiana Samoïlova que son fiancé appelle «mon écureuil». Pour ses larmes, son sourire et son bouquet de fleurs dans la scène finale