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Libération
Chassé croisette

«Je ne suis plus à découvert» : interro surprise de Valérie Donzelli à Cannes

Interview à la volée d’une personnalité de passage au Festival de Cannes. Aujourd’hui, l’actrice et réalisatrice, à l’affiche de «Ma Vie Ma Gueule» de Sophie Fillières et présidente du jury du Prix de la citoyenneté.
La réalisatrice française Valérie Donzelli, lors de la cérémonie d'ouverture du 77e Festival de Cannes, mardi 14 mai. (Loïc Venance/AFP)
publié le 15 mai 2024 à 15h11

Ça va bien se passer, cette année ?

Ouais, je suis amoureuse, et je ne suis plus à découvert.

Un ou une cinéaste sur qui vous aimeriez bien tomber ?

Le meilleur moyen d’éviter quelqu’un à Cannes ?

Rester à Paris.

Le meilleur rituel cannois ?

Champagne, ballerines.

Votre vie devient un biopic. Qui dans votre rôle ? Qui derrière la caméra ?

Mon fils, Gabriel Donzelli, dans mon rôle et ma fille, Rebecca, derrière la caméra.

Un film dont vous n’oserez jamais dire du mal ?

La Boum.

Un film dont vous osez dire du bien ?

Les Valseuses.

Votre premier souvenir de Cannes ?

Premier rôle, premier film. Ouverture de la Quinzaine enceinte pour le film de Sandrine Veysset Martha... Martha.

Un élixir de jouvence ?

L’amour et le sexe, et faire un enfant tardivement.

Si on vous donne de l’argent, vous dites votre salaire ?

Non, on ne m’achète pas!

Si vous n’aviez pas fait ce métier, vous feriez quoi?

Danseuse de revue.

Si on vous dit «la drogue c’est mal» ?

J’arrête le sucre.

C’est l’apocalypse now, on fait quoi ?

L’amour, et on boit ou on se drogue, selon son vice.