Critique

«Joyland» : Lahore, on danse

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Vibrant et sensuel, le premier long métrage de Saim Sadiq fait se rencontrer une meneuse de revue trans et un jeune homme de la classe moyenne. «Libération» a pu s’entretenir avec le cinéaste qui fait face à des attaques conservatrices au Pakistan.
publié le 27 décembre 2022 à 17h18

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