Critique
«Joyland» : Lahore, on danse
Article réservé aux abonnés
Vibrant et sensuel, le premier long métrage de Saim Sadiq fait se rencontrer une meneuse de revue trans et un jeune homme de la classe moyenne. «Libération» a pu s’entretenir avec le cinéaste qui fait face à des attaques conservatrices au Pakistan.