Cinéma

«La Bête» de Bertrand Bonello, l’empire des réminiscences

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De la volupté des années 1910 au vide d’un futur dystopique, Bertrand Bonello signe un film de science-fiction méandreux sur la rétention du désir, porté par une Léa Seydoux convaincue d’une mystérieuse catastrophe à venir.
publié le 6 février 2024 à 15h41

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