Cinéma
«La Chimère» d’Alice Rohrwacher, pincés de stèles
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Pour son quatrième long métrage, l’Italienne suit une bande de «tombaroli», des pilleurs de tombes en quête de trésors. Une variation romantique sur l’oubli, le temps qui passe et l’ivresse matérialiste au tournant des années 80.