Allez-y !
«La Fleur de Buriti»
Mêlant combat, signes et mythes, la cinéaste brésilienne Renée Nader Messora et le Portugais João Salaviza dressent le superbe portrait sur trois générations de la communauté indigène des Krahôs, en lutte pour la préservation de leur terre dans le nord-est du Brésil, menacée d’invasion. Lire notre critique et l’interview des cinéastes.
La Fleur de Buriti de João Salaviza, Renée Nader Messora avec Ilda Patpro Krahô, Francisco Hỳjnõ Krahô, Solane Tehtikwỳj Krahô... 2h03
«Border Line»
Le duo de cinéastes d’origine vénézuélienne Juan Sebastián Vásquez et Alejandro Rojas filme un couple dans la zone de transit de Miami projetant de s’installer aux Etats-Unis sous l’ère Trump. Un huis clos aiguisé au suspense implacable. Lire notre critique.
Border Line de Juan Sebastián Vásquez et Alejandro Rojas, avec Alberto Ammann, Bruna Cusí… 1h17.
Pitié !
«The Fall Guy»
Débordant de vannes, d’actions et de pantalonnades, l’adaptation de la série eighties «l’Homme qui tombe à pic» avec Ryan Gosling et Emily Blunt épuise à trop en faire, sans jamais trouver son axe. Lire notre critique.
The Fall Guy de David Leitch, avec Ryan Gosling, Emily Blunt, Aaron Taylor-Johnson… 2h06.
«Jusqu’au bout du monde»
Second essai à la réalisation pour l’acteur chéri Viggo Mortensen qui s’offre un rôle de cow-boy déconstruit dans un western féministe à gros sabots avec Vicky Krieps. Lire notre critique.
Jusqu’au bout du monde de et avec Viggo Mortensen, Vicky Krieps, Solly McLeod… 2 h 09.
Et aussi…
«Une Affaire de principe»
Antoine Raimbault s’inspire de la vaste affaire de corruption dévoilée par José Bové et ses assistants parlementaires en 2013 et impliquant les lobbys du tabac. Un film à sujet sans audaces, sauvé par ses acteurs. Lire notre critique.
Une Affaire de principe d’Antoine Raimbault, avec Bouli Lanners, Thomas VDB, Céleste Brunnquell… 1h35
«L’Ombre de feu»
Retour du cinéaste japonais punk Shinya Tsukamoto avec un film sur les rescapés de la Seconde Guerre mondiale, traumatisés par la défaite japonaise. Pas toujours subtil, mais au regard toujours tranchant. Lire notre critique.
«Le tableau volé»
Pascal Bonitzer tente une satire du marché de l’art, mais le propos social reste superficiel et le film vire au théâtre de boulevard. Lire notre critique.