A travers le portrait d’une femme aussi orageuse que sa sœur est épanouie, le cinéaste britannique revient à un cinéma intime, penché sur la solitude des êtres et les vérités difficiles. Lire notre critique et l’interview du cinéaste.

A travers deux documentaires sur l’amitié et l’impermanence des choses, le cinéaste dresse un profil intelligent de la jeunesse française des années 2020. Lire notre critique.

Dans le deuxième volet d’une trilogie documentaire aussi vibrante que combative, le cinéaste chinois se penche sur les pénibles négociations qui rythment le quotidien des travailleurs migrants des ateliers de confection de Zhili. Lire notre critique.

Depuis 2001, des millions d’Afghans sont exilés dans l’Iran voisin. Raha Amirfazli et Alireza Ghasemi imaginent avec pudeur et délicatesse la vie de trois d’entre eux. Lire notre critique.

De facture archi académique, le premier biopic consacré au psychiatre décolonial Frantz Fanon s’oublie dans les codes du genre. Lire notre critique.

Ampoulé et chichiteux, le drame culinaire surcharge ses personnages, employés d’une brasserie new-yorkaise. Lire notre critique.

Tiraillé entre territoire occupé et rêves d’avenir, le conte du cinéaste gazaoui suit la quête d’un jeune Palestinien pour retrouver son pigeon voyageur disparu. Lire notre critique.

Cette semaine au cinéma, trois films se démarquent particulièrement : « Deux sœurs » de Mike Leigh, portrait intimiste de relations familiales complexes ; « Ce n’est qu’un au revoir » de Guillaume Brac, double documentaire sur la jeunesse française contemporaine ; et « Jeunesse (les Tourments) » de Wang Bing, second volet d’une trilogie sur les migrants chinois. À noter également « Au pays de nos frères » sur l’exil afghan en Iran, tandis que « Fanon » et « The Grill » déçoivent par leur académisme. « Songe » évoque poétiquement la Palestine occupée à travers un pigeon voyageur.