Critique

«Olga», juste au corps

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Malgré une narration trop appliquée, le film d’Elie Grappe trouve sa puissance dans la mise en scène des séquences au gymnase, lieu de prises de risque d’une jeune fille obligée de quitter l’Ukraine lors des troubles de 2013.
publié le 9 juillet 2021 à 19h59

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