Fendas en portugais ça veut dire fentes, fissures, fêlures. Celles dans lesquelles va s’immiscer Catarina, une chercheuse en physique quantique qui, en étudiant les espaces sonores cachés dans les variations de la lumière, trouve un accès à une temporalité parallèle. Dit comme ça, ça peut sembler passionnant. Le film du brésilien Carlos Segundo ne l’est malheureusement pas vraiment. Une dérive contemplative et semi-expérimentale terriblement terne et sans relief qui aurait pu faire un court métrage intrigant mais sombre complètement en long, diluant son sujet dans des poses abstraites franchement épuisantes.
Critique
«Fendas», quantique que ça se termine ?
«Fendas» aurait pu faire un court métrage intriguant. (O sopro do tempo, Les Valseurs, )
publié le 4 août 2021 à 1h31
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