Alors que le centre Pompidou entamait une quatrième journée de grève lundi 23 octobre après une fermeture en pointillé durant toute la semaine de Paris + après la mobilisation d’une partie des agents qui réclament des garanties écrites sur leur réaffectation pendant les cinq années de fermeture du centre à partir de 2025, le président, Laurent Le Bon, et le ministère de la Culture cherchent à faire redescendre la pression.
Si le protocole d’accord avec les organisations syndicales n’est toujours pas signé, Laurent Le Bon estime que des réponses ont été apportées aux «inquiétudes légitimes» et qu’une négociation est en cours sur l’ensemble des 18 points signalés à l’exception de la demande réitérée d’une solution visant la mise à disposition d’un site unique, en l’occurrence le Grand Palais éphémère. Option définitivement écartée, comme l’a expliqué le ministère, puisque la structure, construite dans la perspective des JO, doit être démontée au plus tard en 2028 pour des «raisons légales».
Déménagement pour 500 agents
«Nous sommes en octobre 2023, la fermeture progressive du centre démarrera en 2025», a temporisé Laurent Le Bon, avant de préciser :<