Des jeux vidéo d’un genre nouveau permettent d’engranger de l’argent en dressant de mignonnes créatures ou en gérant une équipe de foot virtuelle. Gagne-pain ou objet de spéculation, cette économie parallèle est en pleine expansion en Asie.

La dernière œuvre du studio Deconstructeam offre une dizaine de petits jeux de qualité et se singularise par ses à-côtés explicatifs, notes, croquis, vidéos, lesquelles constituent une plongée intimiste dans le parcours créatif des auteurs.

En observant les pratiques des joueurs de tous les âges, neuf chercheuses et chercheurs montrent comment le jeu vidéo, loin d’être une activité exclusivement solitaire, influe sur les façons de rythmer les jours et d'habiter le monde.

Cette semaine, un raton-laveur, des reliques, des briques et un bunker.

Cette semaine, un tour d’Europe des productions indés où l’on découvre, entre autres, la proposition magistrale du studio Deconstructeam.

Cette semaine, un gros robinet de jeux à venir, un gros pinceau qui redonne des couleurs et un gros apprentissage de la création de jeux.

«The Witcher» et «Cyberpunk 2077» en animé, «Avatar» adapté en jeu, Ubisoft en négociation pour adapter ses gros succès… Où est passée l'inspiration créatrice?

Si les conseils régionaux ont peu de compétences obligatoires en matière artistique, ils peuvent jouer un rôle d’orientation important. Avec des visions et des budgets très contrastés.

Entièrement axée sur l’offre de son catalogue sur abonnement, la conférence du géant américain, durant l’E3, pourrait annoncer un changement de paradigme dans l’offre de jeu vidéo.

Deux titres pour enfants varient autour de la figure renard. D’un côté, un blockbuster formidablement soigné, mais sans grandes surprises. De l’autre, une production modeste en monde ouvert, bancale mais charmante.

Les mastodontes du jeu vidéo comme Nintendo ou Atari devraient prochainement ouvrir des hôtels. Une tendance qui confirme, depuis le confinement, un engouement grandissement pour la pratique.

Cette semaine, un confinement en mode science-fiction, un blockbuster, des enfants dans un monde étrange et de l’espionnage.

Depuis que certaines ventes ont atteint des centaines de milliers d’euros, les cartes de ces petits monstres japonais sont revenues à la mode. Un nouveau filon qui attise les convoitises.

Cette semaine, du kung-fu à poil, des enquêtes classiques et des ballons.

Cette semaine, une saga épique se remet à jour, un monument de l’exploration s’aventure dans le froid et une dystopie façon «Papers, Please».

Cette semaine, des pixels, des dessins, des «bullets» et de la spéculation.

Le huitième épisode de la franchise horrifique se distingue par son tournant baroque et son jeu sur le visible et l’invisible, qui provoque une tension suffocante. Avant de se relâcher peu à peu.

Cette semaine, on s’amuse à se faire peur dans l’ambiance très gothique du nouvel épisode de la saga culte.

Exclusivité PlayStation 5, la création du finlandais Housemarque est une expérience maso et hybride où on trébuche sur son propre cadavre et on et on enchaîne les résurrections.

Cette semaine, un safari photo, une fuite désespérée, un mise à niveau bienvenue, un road trip mémoriel et Isaac qui revient, encore.

En plein affrontement juridique avec Apple, des données jusqu’alors confidentielles d’Epic Game éclairent la stratégie du géant derrière «Fortnite».

Cette semaine dans l’émission hebdo de jeux vidéo de «Libération», des clignements d’yeux, un crash extraterrestre en boucle, des mots plateformes et une hache.

Proposée gratuitement sur Internet, la création en pixel art de Laura Hunt et Thomas Möhring est un rare joyau narratif et visuel.

Pensé pour être investi à deux, obligeant à coopérer (ou à être vicieux) avec son partenaire, la géniale surprise de Hazelight Studios est une rareté dans un secteur qui prône plutôt l’action en solo.

Cette semaine, retour sur l’enquête en trois parties consacrée aux problèmes systémiques des formations de jeu vidéo en France.

Improvisation totale, intervenants douteux et obsession de la rentabilité... «Libé» a enquêté sur les centaines de formations privées qui promettent monts et merveilles à leurs élèves.

Cette semaine, des monstres trop gros, du jazz esthétique, un come-back en réalité virtuelle et des «Non !»

Sexisme, violences sexuelles, racisme… «Libération» a recueilli la parole d’élèves qui pointent la persistance d’un virilisme toxique, d’une mentalité de boys’ club entretenue par des étudiants comme par certains intervenants.

«Libération» a recueilli les témoignages d’étudiants et d’intervenants, qui racontent la culture du surtravail, le «crunch», les nuits passées sur place et les burn-outs.

Cette semaine, un couple en jeu, des croquis troublants et de la mélancolie ludique.

L’austère création de Michel Ziegler délivre une étrange promenade faustienne dans les Alpes suisses nourrie du folklore local. Une expérience qui distille un précieux sentiment de malaise faisant oublier toutes ses maladresses techniques.

Cette semaine, des boucles chronophages, le retour des voleurs fantômes et des parties de loup-garou dans l’espace.

Pour eux, le weekend aura été long. Après les annonces de Jean Castex, le doute planait sur la réouverture des magasins de jeux vidéo dans les zones confinées. Depuis lundi, la chose est sûre : oui, ils peuvent reprendre la partie.

Si la question de l’accessibilité progresse, celle de la représentation n’agite pas vraiment le secteur. La plus grosse industrie culturelle a pourtant une responsabilité à endosser.

Cette semaine, une barre espace, des dieux morts, des combats rapprochés et une amourette récursive.

En douze d’existence, Dontnod s’est forgé une identité en assumant ses idées progressistes comme personne dans l’industrie du jeu vidéo. Rencontre avec son PDG, Oskar Guilbert, qui évoque pour «Libération» le futur du studio parisien.

Silence on joue ! c’est l’émission hebdo de jeux vidéo de Libération. Avec Erwan Cario et ses chroniqueurs, Patrick Hellio, Corentin Benoit-Gonin et Marius Chapuis.

Cette semaine, des petits cauchemars, le retour d’une série mythique et une île pas tout à fait accueillante.

Pourtant confié aux Polonais de Bloober Team, «Medium» déçoit entre bavardage inutile sapant l’imaginaire et la peur, et splitscreen, vendu comme une promesse alléchante, mais trop littéral et sans fantaisie.

Cette semaine, des écureuils, un ninja, des start-up et la balle de «Pong».