Trois mois d’occupation, cinq mois de fermeture et 3 millions d’euros de pertes enregistrées pour la Gaîté lyrique. Après la violente évacuation de 400 jeunes migrants, le 18 mars, qui s’est soldée par 46 gardes à vue, 27 obligations de quitter le territoire et la remise à la rue sans aucune solution de logement pour la plupart des occupants, l’établ
Récit
La Gaîté lyrique lâchée financièrement par la mairie de Paris, «c’est la douche froide»
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Migrants, réfugiés... face à l'exodedossier
Dans la Gaîté lyrique occupée, à Paris le 15 janvier 2025. (Stéphane Lagoutte/Myop pour Libération)
par Claire Moulène
publié le 15 mai 2025 à 11h11