Entre réalisme social et fable onirique, le film de la réalisatrice anglaise (Fish Tank, American honey…) peint l’existence précaire et tourmentée d’une jeune adolescente anglaise. En salles.

L’audacieux film d’animation raconte sobrement le quotidien d’une petite japonaise extravertie dans une société corsetée durant les années 40. En salles.

Aussi étrange qu’envoûtant, le film d’un réalisateur né à Saint-Domingue retrace le parcours de l’hippopotame que possédait le baron de la drogue colombien Pablo Escobar. Ours d’argent à la dernière Berlinale. En salles.

Vingt ans après leur dernière apparition au cinéma, le tandem emblématique de l’animation en stop-motion est de retour sur Netflix avec «la Palme de la vengeance», sorte de medley à la justesse admirable. Sur Netflix.

De retour après des adieux à la scène écourtés, l’humoriste passe son public au gril d’un nouveau spectacle en partie improvisé, chaleureusement destructeur. A l’Européen (75017) jusqu’au 30 avril.

Avec ses vidéos tournées clandestinement et ses bricolages visuels, l’artiste tourne autour de notre rapport aux images, aux clichés et au merveilleux au Mrac Occitanie. Au Musée régional d’art contemporain Occitanie de Sérignan jusqu’au 16 mars 2025.

Le Mucem réunit œuvres et objets personnels pour raconter les retours, réels ou fantasmés, de ceux qui avaient quitté leur terre, dans une exposition qui fait écho avec l’actualité. Jusqu’au 16 mars.

Dans une série d’autoportraits travestis inspirés des stars de l’âge d’or des années 1930 à 1950, où il est à la fois la muse et le tyran, le photographe met en scène son dégoût du cinéma. Exposition à la galerie VU’ (Paris 75009) jusqu’au 10 janvier.

Le réalisateur danois signe une série d’anticipation où le Danemark, confronté au risque de la montée des eaux, disperse dans toute l’Europe ses habitants indifférents et pour qui seule prévaut la lutte contre leur déclassement. Sept épisodes sur Canal +. Notre critique

La réédition par Lyrita d’une partie de l’œuvre enregistrée du compositeur britannique, mort en 1998 et injustement oublié, a été l’événement de cette année discographique, révélant entre autres concertos, messe et requiem, un corpus éblouissant de douze symphonies (Lyrita).