Comment écrire une brève histoire du XXe siècle, et surtout qu’en conclure pour présager de l’avenir ? Une nouvelle de l’auteur américain rééditée au Passager clandestin.

Admirateur de Napoléon, le fils de l’ancien président se multiplie dans les médias et rêve de se forger un destin politique à droite.

Dans son dernier recueil «On·e», la chercheuse et poétesse expérimente l’écriture inclusive pour faire advenir une langue poétique révélatrice de la condition des femmes.

Passionné et éclectique, il était notamment l’éditeur du prix Goncourt 2019, «Tous les hommes n’habitent pas le monde de la même façon», de Jean-Paul Dubois et de la série de livres de cuisine «Fait Maison» du chef Cyril Lignac.

Un enfant, héros des «Voleurs d’ampoules» du romancier polonais, explore son immeuble. Un inventaire de ce qu’il y avait et de ce qui manquait dans le Bloc Est.

Le détective intemporel de l’académicien enquête sur trois crimes, dont l’assassinat d’une jeune carmélite peu après la bataille de Sedan.

Dans «Brève Histoire de la Création et de l’Est du Caire», une mère et son fils entament une odyssée nocturne, alors que la capitale va s’embraser d’émeutes.

Chaque semaine une lectrice ou un lecteur chronique un coup de cœur. Aujourd’hui, les destins mêlés d’un peuple mythique, d’une femme et d’une nation.

L’universitaire explique comment la publication des deux premiers romans du Prix Nobel s’est faite avec l’intention de les «replacer dans le processus de l’écriture».

Roman autobiographique d’une autrice transfuge de classes dont la famille dut fuir le Chili de Pinochet pour Montréal.

Minuit publie les deux premiers romans du prix Nobel, datant de 1945 et 1947. Sans les rejeter, l’écrivain mort en 2005 n’avait pas souhaité leur réédition ; l’éditeur franchit le pas, en les proposant «comme archive».

L’écrivain relate son voyage sur un bateau de la Marine nationale vers des confettis français de l’océan Indien.

Quatorze histoires sur un établissement hanté sont racontées par des femmes, de tous les âges, à différentes époques.

Un sacrifice, un jeune homme en hoodie USA, des nids géants, une tisane, un peintre dément, un observatoire, des colis alimentaires et un arrêt d’autobus à New York.

Avec ce récit fictionné, l’écrivain trace une sorte de panorama de l’illuminisme moderne jusqu’au conspirationnisme.

L’écrivain aventurier est aussi un proche des services, qui intervient dans les conflits extérieurs et défend la cause kurde.

Rencontre à domicile avec l’écrivaine qui, souvent, fait revivre des femmes illustres ou méconnues.

Le premier tome de «Sophia», ouvrage introuvable depuis plus de quatre-vingts ans écrit par l’énigmatique philosophe russe, vient de paraître. Un œuvre au destin aussi rocambolesque que la vie de son auteur.

Dans son nouveau roman, la romancière niçoise plonge son héroïne récurrente, Diou, dans les affres de la perte, et parvient à tricoter la tristesse avec la colère

Lorsqu’un antiquaire tombe sur un vieux soldat de plomb, la vie du jouet bascule, menacée par des créatures surnaturelles malintentionnées.

L’Académicien de 83 ans, décédé ce mercredi 7 mai, avait notamment reçu le prix Femina 1972, pour «La Maison des Atlantes».

Dans un roman sous forme d’enquête ethnographique, Munir Hachemi renverse le modèle de la société primitive pour une communauté utopique qui a oublié ses origines.

«Libé» a pu consulter l’assignation déposée en France par Saâda Arbane, la femme qui accuse le dernier Goncourt d’avoir «pillé» sa vie, sur fond de crise entre Paris et Alger. Une première audience se tient ce mercredi.

L’acteur et sociétaire du Français, en proie aux colères comme à la mélancolie, retrouve ses racines géorgiennes.

La recueil du jeune poète haïtien nous percute avec sa violence ouatée.

Chaque semaine une lectrice ou un lecteur chronique un coup de cœur. Aujourd’hui, un premier roman racontant l’histoire d’Andoun, inspirée de la grand-mère révoltée de l’autrice.

Un dealer, une femme épiée, un poète affligé d’une double addiction et la présence constante de la montagne.

Un demi-siècle après leur création, l’écrivain américain poursuit ses «Chroniques de San Francisco» et échange le 28 Barbary Lane contre un manoir anglais.

Dans son premier roman écrit en français et peuplé d’arbres, l’universitaire franco-danoise parle d’exil et d’assimilation.

Chaque samedi, le point sur les ouvrages préférés du public. Cette semaine, deux entrées, les livres de François Sureau et de Rose Lamy.

Des éclats d’humanité, des barbouzes, une fouine, un «monstre de foire», des «méchants sans relief», «une ville idéale», la peste et des peintures rupestres.

Une bande d’adolescents dans les années 90 découvre une maison hantée qui absorbe leurs angoisses, leurs désirs, leur mal-être.

Dans «Vita mia», publié en réaction à la guerre en Ukraine et à Gaza, l'autrice italienne revisite son internement dans une prison japonaise de 1943 à 1945 alors qu’elle était enfant. Et raconte comment sa famille a tenu grâce à l’écriture.

Publication de «la Correspondante», recueil de courts textes de l’autrice suisse dans lesquels même la nature n’est pas fiable.

Publication de trois ouvrages du ou sur l’écrivain oulipien mort il y a cinq mois.

La romancière écossaise plonge dans l’Angleterre confinée par la pandémie du Covid.

Thriller sur fond d’Unité pour malades difficiles et de meurtres commis lors de délires psychiatriques, l’écrivain associe maladie mentale, parasitologie, dépit amoureux, psychiatre menacée et flics ténébreux dans un cocktail hyper-efficace

Pastiche savoureux du monde politico-médiatico-littéraire d’aujourd’hui, «le Syndrome du cordonnier» met en scène un écrivain accro aux plateaux de la télé.

La Britannique, disparue lundi 28 avril, a publié quelque 35 livres pour adultes et enfants, dont «le Maître des apparences» et «le Choix de Betty» ou «l’Eternel Rival».

L’Ecossaise Vicki Jarrett conjugue dystopie et fantastique dans un roman inspiré par l’Arctique.