La romancière consacre un livre à sa relation avec sa chatte persane et affirme «j’aime qui je veux, comme je veux, au degré que je veux».

Chaque semaine une lectrice ou un lecteur chronique un coup de cœur. Aujourd’hui, un fils en manque de père et un oiseau espiègle.

Les deux héros d’«Un crime dans la peau» sont des voyous sans envergure se transformant en massacreurs dans un univers sans lumière, la France miséreuse des années 30.

L’histoire d’une passion née au lycée à la fin des années 50 et toujours vibrante malgré la mort de l’amant, photographe de guerre.

Dans «les Sœurs Field», la romancière anglaise née en 1893 scrute trois femmes dans leur sphère domestique et les liens qui les unissent.

Chaque samedi, le point sur les ouvrages préférés du public. Ce week-end, une chute du haut d’une falaise et un filon à creuser.

Un pique-nique studieux, une librairie à Jérusalem, des élèves en CAP coiffure, un «escroc de haut vol» et les deux dimensions de l’expérience militante.

Rencontre avec l’auteur irlandais qui, après un recueil de nouvelles, publie «Fils prodigues». Situé dans le comté de Mayo, ce premier roman rassemble, dans un huis clos à suspense, des personnages coupables d’un enlèvement lié à la drogue.

Inspirées par Raymond Queneau, les autrices finlandaises déclinent en variations stylistiques un unique et réel fait divers dans «101 façons de tuer son mari».

L’album «On peut rire de tout (sauf de sa mère)» est constitué d’histoires juives que l’autrice n’a pas inventées mais illustre en une page et parfois un seul dessin.

La poète funambule des mots sort un nouveau recueil à la légèreté mélancolique, teinté d’autodérision.

Un recueil de nouvelles réglées selon une forme musicale du XVIIIe siècle.

Dans son dernier ouvrage, proche d’un «true crime», la romancière dénonce un féminicide perpétré en 2008 par Jean-Marie Demange, un élu dont le suicide entraînera un hommage à l’Assemblée nationale.

Le journaliste remonte le fil de l’assassinat de Krim Belkacem en 1970, l’un des pères de l’indépendance, chef historique du FLN devenu opposant au régime de Boumediene.

Le réalisateur sort «Ne courez pas! Marchez!», livre réunissant son propre récit d’enfant rescapé du ghetto de Cracovie, et celui de son père, revenu du camp de concentration de Plaszów.

Le «chercheur en littérature» sort de l’oubli le souvenir littéraire, genre en vogue des années 1860 à 1960, où des écrivains (ici dénommés «souveniristes») se remémorent la vie des grands auteurs qui les ont marqués.

Chaque semaine, «Libération» passe en revue l’actualité du livre jeunesse. Aujourd’hui,

Icône trans et pionnière du cabaret queer, l’ancienne meneuse de revue chez Madame Arthur a su se réinventer en prof de littérature.

Entre société futuriste et folie douce, le prolifique auteur français offre une nouvelle version d’un de ses plus célèbres romans. Avec un début éblouissant et une fin apocalyptique.

Avec «Me tenir droite», l’auteur à l’écriture sobre et sensible dresse le portrait d’une femme que tout accable et qui tente malgré tout de rester debout, accrochée à une poignée de souvenirs.

Chaque semaine, une lectrice ou un lecteur chronique un coup de cœur, aujourd’hui un recueil de poèmes avec pour fil conducteur la folie d’une mère.

A Belle-Ile, l’idylle de deux cinéphiles, obsédés par des films oubliés. L’histoire fantasque et gaie de plusieurs résurrections.

Dans «Seul l’océan pour me sauver», premier roman de l’autrice américaine, une fille sirène aime un vétéran de la guerre en Irak.

Chaque samedi, le point sur les ouvrages préférés du public. Cette semaine, le classement a un air de déjà-vu mais Bernard Minier pique notre curiosité.

Trente ans après sa mort, l’écrivain libertaire suscite une effervescence en librairie avec trois rééditions et la publication d’un inédit, «Contact avec les guerriers», sur son expérience de la drôle de guerre.

Un site naturiste, un bref passage «en terre de folie», de l’errance médicale, un uniforme violet, un faiseur de fleuves, des verriers et grutiers, le deuil d’une grand-mère et une envie de chlorophylle.

Dans son nouveau recueil de nouvelles, l’écrivaine féministe de Macédoine du Nord poursuit sa satire de la famille et questionne les illusions de l’émigration.

Dans «Euh… Comment parler de la mort aux enfants», la rabbine interroge les non-dits des parents sur ce sujet tabou.

Le professeur émérite au Collège de France Antoine Compagnon utilise sa connaissance de l’œuvre et de l’homme dont il fut proche pour étudier Roland Barthes sous un angle original, la commande.

A travers les lubies et pièges amoureux de ses personnages masculins, l’autrice turque Ayfer Tunç révèle dans ses nouvelles les douleurs muettes des femmes dans son pays.

L’écrivain retrace la vie haute en couleur de l’ami et artiste Serge Tamagnot, dont la «faim de la célébrité des autres était insatiable».

L’auteur norvégien nous fait revivre la traque des espions alliés chargés de découvrir le développement par les Allemands de fusées destinées à anéantir Londres.

A partir d’archives rares, le journaliste Richard Schittly retrace le parcours de la branche «oubliée» de l’organisation.

L’historienne montre comment l’heure s’est généralisée en France à partir des années 1750, créant une attention nouvelle à la ponctualité.

Dans son huitième roman, l’autrice réalise le rêve d’Ernest et de tout enfant insatisfait : changer de famille.

Dans une enquête captivante, le journaliste Patrick Radden Keefe détaille les rouages des migrations de la Chine vers les Etats-Unis dans les années 90. Il dresse un portrait nuancé de la femme qui en orchestrait le trafic.

La première traduction complète des «Brouillons» vient rendre compte de l’ampleur de la pensée du philosophe allemand doué d’un immense goût du savoir, loin de sa réputation de simple faiseur d’aphorismes.

Lors de l’événement qui s’est tenu à Paris du 11 au 13 avril, la maison indépendante Tusitala a été sommée par la collectivité d’enlever un poster dénonçant «l’ingérence fasciste de Bolloré».

De Mario Vargas Llosa, de l’univers mouvant, hétérogène et unique de son œuvre et sa personne, il me restait seulement, jusqu’à hier, un goût amer. Heureusement sa mort est là, humaine, terriblement humaine.

Le pays se recueillait ce lundi 14 avril en souvenir de l’homme de lettres péruvien, mort dimanche. A Lima, les habitants saluaient sa mémoire.