«Des âmes aimantantes», une vieillesse maternelle surjouée, une maison à désenvoûter, un hameau reculé, des feuillets inédits d’Adèle Hugo, des ossements de caméléons, une voie éthique «à côté de celle du héros, du martyr, et du saint»...

«Les Enfants de Nobodaddy» : du nazisme à la post-apocalypse, un tryptique violent et sublime de l’auteur allemand mort en 1979.

Dernier volet de la «Septologie» en trois volumes de l’écrivain norvégien, Prix Nobel 2023.

La récente opération institutionnelle «11 mars je lis» invite à une pratique quotidienne d’un quart d’heure. A raison : les livres sont des refuges, d’autant plus précieux en ces temps d’ouragan mondial.

Le directeur général du groupe de médias de Matthieu Pigasse a pris la présidence du Printemps des poètes, manifestation qu’il avait lancée il y a vingt-six ans.

Dans «l’Iguane», le journaliste d’investigation et romancier italien joue avec ses personnages comme le chat avec les souris, composant un pur thriller avec tension et flaques de sang.

Taina Tervonen a recueilli les témoignages de cinq personnes qui aident, à distance, les Africains subsahariens s’aventurant sur la mer au péril de leur vie.

Le chercheur dirige un nouvel essai qui donne la part belle à la sensibilité des êtres non humains à travers les siècles.

Invitée à passer une nuit au sein de la collection Pinault, l’autrice décrit au fil d’un livre dense et vif sa difficile intégration dans le petit monde parisien de l’art.

Lors d’une conférence organisée ce mardi 11 mars dans un salon de Gallimard, l’éditeur de l’écrivain incarcéré en Algérie depuis la mi-novembre, son conseil a affirmé qu’il lui était aujourd’hui impossible de défendre son client.

Dans «la Ronde de nuit», nouveau recueil de nouvelles après le remarqué «Lapin maudit», la coréenne Bora Chung tisse à nouveau les fils d’un imaginaire insolite et dénonciateur.

Le poète, romancier et metteur en scène signe avec « l’Avenir » un recueil en forme d’épopée post-apocalyptique dans une «Europe aux yeux tristes» qui dit les maux actuels.

Deuxième tome de la trilogie consacrée à la guerre du Liban, «Rares ceux qui échappèrent à la guerre» revisite l’attentat contre le Drakkar et l’enlèvement de Michel Seurat et Jean-Paul Kauffmann.

Un roman à hauteur d’enfants «spéciaux» dans lequel les adultes seront tantôt opposants tantôt adjuvants.

L’ancien journaliste de «Libé» dévoile dans «Un père ordinaire» le rôle de la légion des volontaires français qui s’est engagée auprès de l’armée allemande et a participé à des massacres pendant la Seconde Guerre mondiale.

Un zoo, un lion, une chèvre, un poisson avec une tête de fesses… Chaque samedi, le point sur les ouvrages préférés du public.

Dans son ouvrage publié le 5 février aux éditions du Rocher, le journaliste franco-afghan plonge les lecteurs dans le quotidien de celles et ceux qui risquent leur vie pour défendre la liberté en Iran.

Echos d’un bouillonnement dans le polar, à l’étranger et dans l’Hexagone.

Dans les «Archives du Chant des Oiseaux», le romancier allemand mort en 1910 revisite «l’idylle dévastée de l’enfance» après la mort d’un ami qui s’était, «selon nos conceptions bourgeoises», perdu au fil du temps.

Entretien avec l’autrice de «Dios et Florida», western incandescent dans lequel l’Américaine prouve que les femmes peuvent être aussi violentes que les hommes.

Lyonel Trouillot rend hommage à l’écrivain et compatriote haïtien Frankétienne, disparu le 20 février à 88 ans.

Sortie de quatre livres, dont l’autobiographique «Rouge feu», de la figure du «black feminism» morte en 2021.

De beatniks en zapatistes, un récit initiatique et autobiographique de l’autrice de «Triste Tigre» devenue citoyenne du Mexique.

L’auteur écossais enferme son célèbre héros entre quatre murs tandis que son adjointe sillonne Edimbourg en quête d’une ado disparue. Jubilatoire.

Le psychologue et psychanalyste Alexandre Morel analyse comment le théâtre peut être un outil puissant dans le parcours de soin des adolescents, à travers lequel ils peuvent choisir de tout incarner.

Dans un livre kaléidoscopique où la fiction appuie l’enquête, l’autrice retrace les vies de femmes américaines qui se sont battues contre les assignations raciale et sexuelle.

A la fois entrepreneur, urbaniste et philosophe, le Toulousain d’origine défend un concept hôtelier truffé de critères écolos et sociaux.

A travers son journal, l’auteur israélien rend compte de sa difficulté à continuer à habiter et écrire dans un pays devenu «invivable» après le 7 Octobre.

Cet album aux illustrations réconfortantes propose une réécriture de l’Histoire à coups de jeux de mots et d’absurdités.

«Changements de plan», encore inédit en français, propose de voyager d’une société à l’autre, avec humour et poésie.

L’auteurice livre un long poème qui tente de s’extraire de l’attrait dangereux des draps.

Dans le troisième volet de sa trilogie policière, on retrouve la mélancolie de l’auteur américain, sa façon d’aimer les perdants et les femmes désemparées, et aussi son héros, ex-enquêteur pour les forces armées.

Le héros de «Dream Girl» est un écrivain vieillissant qui se prend pour un tombeur alors qu’il a maltraité toutes ses femmes. Un jour, il se retrouve cloué sur un lit médicalisé et son passé resurgit.

«La sensation de se noyer ne donne pas le droit de noyer les autres», dit le psy à sa patiente journaliste.

Chaque week-end, le point sur les ouvrages préférés du public. Ce samedi, la forêt que cache l’arbre.

La jeunesse en trois temps de deux adolescents à Dublin dans les années 1980.

Un vieux cerf est tué d’une flèche entre les deux yeux, un homme de même. Qui a assassiné le prédateur Richemont, industriel mal aimé dans le coin ?

Chaque semaine, une lectrice ou un lecteur chronique un coup de cœur. Aujourd’hui les fragments d’un compte à rebours.

Du lichen, une tente étroite, le pôle Nord, une vie de fornication, des «lacs partagés», la posture des intellectuels, le chat de Schrödinger et des bacchanales grecques.

Rencontre avec l’auteur irlandais autour de «la Nuée des âmes», roman perturbant et prégnant.