Dans «Emma au jardin», le jeune poète suisse brosse le portrait d’une grand-mère en vers brefs et tout en douceur.

Après le best-seller «Son odeur après la pluie», l’écrivain et alpiniste Cédric Sapin-Defour relate dans son dernier opus l’accident de parapente qui a failli coûter la vie à sa compagne.

Dans une enquête littéraire nommée au prix Goncourt, le journaliste de «Quotidien» analyse la trajectoire du jeune homme qui a tué sa mère lors d’un rodéo urbain en 2012, se réappropriant un récit confisqué.

L’autrice livre un polar très simenonien entraînant le lecteur, à partir d’un simple meurtre, sur les trottoirs mouillés de la capitale.

L’incontournable marchand de manuscrits anciens de Saint-Germain-des-Prés sera jugé au tribunal de Paris à partir de ce lundi 8 septembre. Il est suspecté d’avoir participé à l’affaire Aristophil.

En tournée pour la parution de la traduction en coréen du «Temps des Chimères», Bernard Werber a pu constater une nouvelle fois sa cote de popularité en Corée du Sud.

Chaque samedi, le point sur les ouvrages préférés du public. Cette semaine, il n’y en a que pour «Kolkhoze».

Des piments trempés dans le café, une démangeaison à la paume gauche, des humoristes sinistres dans la salle des profs, le vol des chevaliers guignettes et des fous bruns et enfin les vertus des promesses.

Dans ce deuxième roman de l’auteur franco-irakien, un jeune garçon apprend qu’un oncle aviateur s’est volatilisé. Découverte qui va l’obséder pendant des décennies.

Une émotion sans tristesse, l’émotion d’être vivant et de le rester tant que ça dure, et que les sentiments aussi le soient et durent: la nostalgie selon l’auteur danois.

Rencontre avec l’autrice américaine aux attaches algériennes à l’occasion de la sortie en France de «l’Etrange Tumulte de nos vies».

La romancière installe un Fort Alamo en plein Paris avec à sa tête une femme virée de chez sa sœur qui s’allie à un ancien militaire souffrant de trouble de stress post-traumatique.

Entretien sur la rentrée littéraire dominée par les récits de famille avec Dominique Rabaté, professeur de littérature française contemporaine à l’université Paris Cité.

Dans une maison d’édition en déclin, un manuscrit se présente. Son héros est un homme à l’obsession monstrueuse : écouter de toutes les manières possibles la jouissance des femmes.

Avec ce nouveau livre, moins abrupt et plus tendre qu’«Un roman russe», l’écrivain, fils de l’académicienne Hélène Carrère d’Encausse morte en 2023, poursuitson exploration généalogique.

Michel Bussi, Nathacha Appanah et Anne Berest font partie de la liste des autrices et auteurs en lice pour le prix littéraire qui sera remis le 4 novembre, juste après le Goncourt.

Avec «les Mouettes, mission Iran», un deuxième tome inspiré de la célèbre série «le Bureau des légendes», l’auteur nous embarque à la frontière pakistano-iranienne aux côtés d’agents de la DGSE prêts à tout pour remplir leur mission.

L’historienne retrace l’entrée dans l’Eglise de jeunes filles au XIXe siècle et la pression inverse de leur famille. Un ouvrage riche en documents récoltés entre la France, l’Espagne et les fonds vaticanesques.

Petit recueil de «micro-essais», dans lesquels l’Ecossaise explore la relation entre l’homme et l’environnement. Un récit avec des allusions au Covid et au confinement, loin d’être pessimiste.

Amoureux de l’archipel de la Manche et expert éclairé de la vie et de l’œuvre hugoliennes, le journaliste et écrivain embarque à bord de son voilier de six mètres, poursuivi par Victor Hugo.

Dans un roman graphique centré sur sa grande tante et sa fille, Tian fait le récit de l’émancipation d’une jeune khmère et de sa passion pour le piano dans la RDA des années 1960-70, prélude à sa propre survie.

Dans un contexte de rentrée littéraire foisonnante, la première sélection de l’académie a été présentée ce mercredi 3 septembre en vue du prix décerné en novembre.

Une nouvelle poétique de l’Américain Robert Silverberg sur la beauté et la finitude.

Chez Bruno Doucey, une anthologie bilingue et le dernier recueil de la poétesse tarnaise donnent à entendre le rythme rocailleux d’une langue qui n’a pas dit son dernier vers.

Les éditions Agullo ont réuni neuf nouvelles noires d’autrices et auteurs réputés dans leur pays (Syrie, Bulgarie, République tchèque, Turquie, Sri Lanka, Géorgie, Danemark, Portugal, Grèce) pour un résultat formidable.

Dans les ruines de l’enclave palestinienne, le romancier fait se rencontrer un photographe français et «un vieux libraire accroché encore à ses bouquins».

Un duo mère-fille enlevé et l’antagonisme entre les mœurs de Paris et Marseille dans un premier roman déjà très remarqué.

Des manuscrits «rapiécés», des lettres de plomb, des yeux «éteints allumés», des coefficients, un hommage à Eddie Murphy, des cassettes audio, une décapotable rose vif et Marx «vert».

Dans «Tovaangar», un trio traverse des paysages luxuriants, dans un paradis du vivant où les barrages ne sont plus que des vestiges. Rencontre avec la romancière dans les Pyrénées.

Le héros du premier roman de l’auteur bulgare né en 1986 est un petit garçon qui grâce à une imagination jamais en sommeil fabrique des rêves.

Le protagoniste de «Paul prend la forme d’une fille mortelle» est un polysexuel, qui a le pouvoir de se transformer à volonté.

Dans «Quatre jours sans ma mère», premier roman, une cité fictive de banlieue, baptisée la Caverne, voit le désarroi puis la renaissance d’un Tanguy franco-tunisien.

Le premier roman de la comédienne, pensionnaire de la Comédie-Française, commence par un portrait muqueux de la jeunesse et des amitiés troubles.

Un aïeul oublié, une femme confrontée à l’homosexualité de son mari : le nouveau roman de Caroline Lamarche est l’un des plus élégants de cette rentrée littéraire.

De Firmin à Marguerite, celle par qui le malheur arrive, le romancier remonte la lignée de ses aïeux.

Le magistrat, ancien porte-parole de la chancellerie et fils d’immigrés marocains pauvres, publie début septembre un plaidoyer pour l’égalité des chances dans le système scolaire.

Prix Pulitzer 2025 avec ce nouvel opus, le romancier américain s’empare des «Aventures de Huckleberry Finn» pour renverser les perspectives sur l’histoire de l’esclavage. Un événement de la rentrée littéraire.

Après «Bleus, Blancs, Rouges», l’auteur breton publie «l’Etendard sanglant est levé», deuxième tome d’une trilogie noire sur les années 70-80 en France, entre alternance politique, barbouzes, terrorisme et disco.

Leila Guerriero retrace dans un récit minutieux le parcours de Silvia Labayru, maintenue recluse et torturée à 19 ans par la dictature argentine.

Parution d’un recueil d’articles souvent acerbes de la star de la critique américaine.