Le magistrat, ancien porte-parole de la chancellerie et fils d’immigrés marocains pauvres, publie début septembre un plaidoyer pour l’égalité des chances dans le système scolaire.

Prix Pulitzer 2025 avec ce nouvel opus, le romancier américain s’empare des «Aventures de Huckleberry Finn» pour renverser les perspectives sur l’histoire de l’esclavage. Un événement de la rentrée littéraire.

Après «Bleus, Blancs, Rouges», l’auteur breton publie «l’Etendard sanglant est levé», deuxième tome d’une trilogie noire sur les années 70-80 en France, entre alternance politique, barbouzes, terrorisme et disco.

Leila Guerriero retrace dans un récit minutieux le parcours de Silvia Labayru, maintenue recluse et torturée à 19 ans par la dictature argentine.

Parution d’un recueil d’articles souvent acerbes de la star de la critique américaine.

Urbaniste et historien, Stéphane Füzesséry détaille les raisons de la haine des nazis pour la capitale allemande et leurs tentatives de la transformer.

Le docteur en science des arts explore le phénomène de la bioluminescence chez les animaux des abysses, donnant à imaginer une façon d’être au monde radicalement différente de la nôtre.

En librairies depuis ce 21 août, le nouveau livre de Natacha Appanah voit l’autrice enquêter sur les meurtres de Chahinez Daoud et de sa cousine Emma, et retrouver la jeune femme abusée qu’elle fut.

En librairies depuis le 22 août, le premier livre du primo-romancier bulgare est l’une des sensations de la rentrée, entre conte initiatique et fable politique.

Dans un «livre manifeste» combatif, le directeur de recherches au CNRS propose d’alléger les programmes scolaires afin de retrouver le plaisir du savoir.

Un deuxième roman n’est jamais facile mais, avec «le Livre des prodiges», cet auteur français s’inscrit parmi les figures montantes du polar hexagonal.

Le poète, scénariste, traducteur et critique, passionné de cinéma et ancien journaliste de «Libération», est mort dimanche 24 août. Il avait 57 ans.

C’est l’un des ouvrages les plus attendus de la rentrée littéraire, en librairies jeudi 28 août. L’écrivain plonge dans l’histoire de sa famille, et notamment de sa mère, Hélène Carrère d’Encausse. En voici le premier chapitre.

Chaque samedi, le point sur les ouvrages préférés du public. Top chrono, la rentrée littéraire a commencé.

Dans «Partout le même ciel», un trio en quête de sens et l’exploration des tourments de la jeunesse.

Des autrices réécrivent des histoires connues à partir du point de vue des femmes, jusqu’alors confinées aux seconds rôles ou réduites à des victimes.

Un univers fantomatique et circulaire, des leçons de géologie, un livre de bande, une petite île des Cyclades, un tour d’horizon familial, le press-book de Baudelaire...

Dans ce nouveau roman, l’auteur imagine la trajectoire de trois personnages dans un quartier pavillonnaire, aux prises avec leur milieu social et leurs sentiments.

L’auteur de recueils de nouvelles très brèves consacre un livre à la vie chaotique et à la mort en 2022 d’Edouard, schizophrène.

Le texte érotique aura attendu quarante ans avant que l’on sache qui l’a écrit. Une mystification littéraire aussi sulfureuse que le contenu du livre.

Rencontre chez elle, à Marseille, avec la poétesse et romancière à l’occasion de la sortie des «Forces», la traversée des mondes d’une jeune femme en rupture avec l’ordre social.

Un chiffonnier amoureux des canidés «ressuscite» des objets et se lie d’amitié avec une voisine surnommée «la Tueuse».

Autour d’une piscine en Tunisie, une tragicomédie de corps défaits par la guerre en Libye et refaits par la chirurgie esthétique.

«Fils à perpétuité», l’écrivain qui s’est gardé d’écrire sur ses parents de leur vivant cache, dans son nouveau roman, sa sensibilité sous son talent agressif.

L’autrice enquête sur les meurtres de Chahinez Daoud et de sa cousine Emma et retrouve la jeune femme abusée qu’elle fut.

Surnommé «le Madoff des livres», l’homme d’affaires de 77 ans, mis en cause pour un système supposé frauduleux basé sur des originaux d’écrivains comme Proust, Balzac ou Zola, sera jugé à partir du 8 septembre.

Dans «Baignades», la romancière québécoise poursuit sa plongée dans l’âme humaine, forcément très noire.

Parution des lettres de François Truffaut adressées à ses confrères cinéastes, à travers lesquelles il se montre aussi protecteur vis-à-vis des plus anciens que sincère avec ses contemporains.

Nouvelle parution du roman où l’autrice tente de reconstituer, à travers le récit d’un meurtre «la couleur de l’anéantissement».

Avec «la Cabane dans les arbres», la romancière allemande nous entraîne dans une cabane isolée en Suède où l’apparent conte de fées d’une famille va vite se transformer en cauchemar.

Avec son deuxième roman noir traduit en français, l’écrivain prend place parmi les meilleurs auteurs de polars grecs. Son écriture poétique tranche avec la noirceur de ses intrigues.

Dans «Une femme dans son siècle», la journaliste, membre du clan du «37, Champs-Elysées», ex-épouse de Jean-Louis Servan-Schreiber et aujourd’hui mariée à Françoise Gaspard, raconte ses combats.

Après «Que le meilleur gagne», les Norvégiens Jorn Lier Horst et Thomas Enger livrent un polar certes efficace mais qui manque singulièrement de chair et d’âme.

De la naissance de la société de consommation à l’industrie du rebut en passant par «l’objeu» de Francis Ponge, 40 universitaires retracent une histoire des objets et de la culture matérielle depuis 1830.

En 1971, alors que Nixon entame sa guerre contre la drogue, le journal intime d’une ado victime d’overdose bouleverse l’Amérique. Succès mondial, le témoignage se révèle fictif, bricolé par une fausse psy mormone en quête de reconnaissance.

Melvina Mestre a concocté une nouvelle enquête pour son héroïne, la détective privée Gabrielle Kaplan, qu’elle immerge dans la ville de tous les plaisirs et les dangers où se croisent ex-collabos et trafiquants en tous genres.

Avec «l’Ange gardien» et son détective très spécial Woodstock, le jeune auteur italien nous offre une fiction pleine de finesse dans les rues de Rome.

Manuscrits, tapuscrits, dessins, brouillons... A Caen, l’Institut Mémoires de l’édition contemporaine propose une exposition tirée de ses fonds, «Fragments du rêve», et un livre d’Olivier Schefer.

Celui qui signait aussi Jean Amila a publié en 1971 «la Vierge et le taureau», faux roman d’espionnage d’un pessimisme terrible, qui vient d’être réédité par Joëlle Losfeld.

Figure incontournable du polar nordique, il nourrit ses œuvres avec le passé de son pays, véhiculant au travers de ses intrigues une part de la mémoire islandaise. A retrouver dans notre hors-série «Les sept familles du polar».