Après le choix du livre, comment convaincre votre progéniture de l’ouvrir et d’y consacrer du temps. Il n’y a pas de recette magique, mais voici quelques astuces à suivre à la lettre.

La 11e édition de l’événement consacré au livre jeunesse bat son plein jusqu’au 20 juillet. En Seine-Maritime, «Libé» a rencontré Target, jeune berger des Shetland qui participe à un atelier de médiation animale pour enfants.

A l’occasion de la publication en français d’une volumineuse biographie, le cinéaste néerlandais revient sur sa tumultueuse filmographie et ses projets à venir.

Ce court roman de Guillaume Guéraud est un formidable hommage aux films noirs de Sam Peckinpah et Johnnie To, avec une écriture vive qui sait capter l’attention.

Connu pour avoir révélé et accompagné le créateur de «Dragon Ball», l’éditeur de mangas répond pour «Libé» aux idées reçues qui entourent son métier, son évolution ainsi sa relation à des artistes très sollicités et souvent épuisés.

Dans un récit au style oral et enchâssé, la poétesse afro-américaine se penche sur sa «lignée du Dahomey» et les traumas de l’esclavage.

Chaque samedi, le point sur les ouvrages préférés du public. Cette semaine, un best-seller et un long-seller.

Zulma vient de republier le grinçant «la Place du mort», où un veuf enquête sur sa femme tuée en voiture au côté de son amant.

Un jour d’hiver pendant le confinement, l’écrivaine britannique et conseillère politique recueille un levraut des neiges. «Ce que ton regard promet» navigue entre «nature writing» et conte.

La narratrice enceinte, qui a le même nom que la romancière, sent le monde se modifier à petites doses et porte sur lui un regard malicieux.

Chaque semaine une lectrice ou un lecteur chronique un coup de cœur. Aujourd’hui, un fils enquête sur son père.

Une fuite devant des massacres, la façon dont l’Histoire ­colore un comportement maternel, une formule d’Antonin Artaud et le travail salutaire «des récits, des imaginaires et des narrations culturelles».

«Sphinx», paru en 1986, premier roman sur un amour entre deux protagonistes au genre jamais révélé, est réédité dans la collection l’Imaginaire. Rencontre à Paris.

Nouvelle traduction de «Perdu à jamais», douzième roman de l’auteur prussien mort en 1898, dans lequel la joie, la vertu, la conscience, la légèreté et l’amour sont les éléments de l’intrigue.

Un roman naturaliste, assez tolstoïen, de l’auteur russe mort en 2015 réputé pour ses portraits de femmes.

La romancière anglaise, autrice de la saga des Cazalet, explore la maisonnée d’un colonel.

Dans «Ecrire Mazan», la chroniqueuse judiciaire retranscrit ses articles publiés sur l’affaire des viols, ajoute des notes et dessins. Un récit sur le récit du procès.

Dans un thriller politique trépidant, le romancier et journaliste souligne les dangers vertigineux d’une intelligence artificielle utilisée à mauvais escient.

Etienne Anheim et Paul Pasquali montrent comment traduire Erwin Panofsky a permis au sociologue d’élaborer son propre chemin intellectuel, développant la notion d’habitus.

La psychologue cherche à stimuler l’esprit critique des 12-15 ans à travers un guide.

La chercheuse Stéphanie Peel montre comment l’ésotérisme a pu représenter un outil d’émancipation féministe pour des médiums qui accédaient au rang de gloire des salons du XIXe siècle, avant d’être peu à peu oubliées.

La chercheuse Elara Bertho revient sur la trajectoire de la chanteuse et l’activiste engagés du côté du pouvoir de la Guinée post-indépendantiste, posant la question de leur éventuel aveuglement face aux violences du régime.

Jeanne d’Arc devant la caméra de Robert Bresson, l’écrivaine et académicienne s’est éteinte mardi 1er juillet à 84 ans.

Un narrateur sur le fil à travers lequel coule la poésie de l’autrice.

Chaque semaine, une lectrice ou un lecteur chronique un coup de cœur. Aujourd’hui, des libraires américains contre le typhon de la censure.

Avec «les Eveillées», le romancier nous entraîne dans une course-poursuite contemporaine, du Mexique à Majorque en passant par Rome et Paris, pour décrypter les symboles cachés de la chapelle Sixtine.

Chaque samedi, le point sur les ouvrages préférés du public. Cette semaine, un best-seller et un long-seller.

Secondé d’un nutritionniste, l’écrivain italien mêle souvenirs intimes et recettes de cuisine héritées de sa famille.

Tout à la fois révolté, sensible, cassant voire péremptoire quand il règle ses comptes, le lanceur d’alerte, cofondateur d’Act Up-Paris et ancien journaliste musical de «Libé» publie son «dernier livre», celui d’un «vieil homme en colère».

L’auteur américain et nihiliste du «Schizo et les Langues», publié en 1970, ressurgit dans un premier récit entre enquête littéraire et réparation intime.

Dans son nouveau recueil, l’écrivain invente un genre qu’on pourrait appeler la non-fiction poétique.

Réédition du recueil de souvenirs de l’acteur et dramaturge mort en 2017, qui inspira à Wim Wenders «Paris, Texas».

De Nikita Khrouchtchev à Marilyn Monroe, du FLN au canal de Suez... Réédition d’une fresque vivante attentive aux détails.

Gabriel Josipovici fait le portrait de «M. Pavone», compositeur à l’ego surdimensionné décrit par son majordome.

Dans des pages richement illustrées, la revue s’écarte des sentiers battus pour tenter d’établir l’impossible carte d’identité d’un archipel menacé.

A quinze ans de distance, deux enfants d’une même famille disparaissent en pleine nature. Tyrannie des puissants et désirs de vengeance sont au cœur de ce polar de Liz Moore.

Préfacés par Antoine Compagnon, deux écrits sur Joseph Conrad et Glenn Gould peignent en creux un portrait tout en nuances du psychanalyste mort en 2022.

Dans son autobiographie, la romancière et éditrice parisienne d’origine allemande apparaît revenue des désirs de révolution des années 1970 sans en renier ni les amitiés ni la liberté.

L'ouvrage dirigé par Elisabeth Lusset et Isabelle Heullant-Donat explore la confection d’énigmatiques miniatures de couvent par leurs résidentes.

Mobilisant Walter Benjamin ou Ernst Jünger, la philosophe Déborah V. Brosteaux décrit à la fois notre indifférence ­de la guerre perçue comme lointaine et notre «fascination» pour l’intensité qu’elle suscite.