Une anthologie rend compte du parcours singulier du poète à travers six décennies de création.

L’Algérien, dans son premier livre traduit en français, offre un polar foisonnant qui nous emmène aux portes du désert où le cadavre d’une chanteuse d’hôtel est retrouvé dans une ruelle.

Chaque samedi, le point sur les ouvrages préférés du public. Cette semaine, qui tire les ficelles ?

Dans ce premier roman, l’autrice et poétesse Rachel Eliza Griffiths raconte le destin d’une famille noire qui subit la ségrégation de génération en génération.

Au menu cette semaine, Claude Monet, une maison à l’ambition folle et un misogyne.

Chaque semaine, une lectrice ou un lecteur chronique un coup de cœur. Aujourd’hui, une femme face au meurtre de l’être aimé.

L’autrice suit le destin de survivants d’un massacre ayant eu lieu en 2009 à Conakry.

L’ex-diplomate, secret et mélomane, s’est imposé en historien aventureux, avec Gaza au cœur de ses préoccupations.

Censuré en 1934, «la Couronne de pines» paraît pour la première fois. Ce roman du poète oublié raconte la suite des aventures érotiques et homosexuelles d’Albert, commencées dans «le Supplice d’une queue».

Collaborateur des éditions GayKitschCamp, qui publient «la Couronne de pines», Jean-Marc Barféty analyse l’œuvre de François-Paul Alibert et le parcours de son roman perdu.

La poétesse canadienne s’interroge sur le sens de l’erreur dans un livre qui mêle poésie, essai et autobiographie.

Un couple adultérin mène la révolution dans un village du Hunan dans les années soixante, traduction du deuxième roman de Yan Lianke.

Le nouveau roman de l’auteur américain fait alterner les voix et les souvenirs d’un quadra et sa mère.

Des nouvelles du bonheur moderne.

Le plan de la ville, qui ambitionne de mener une transition vers le numérique et d’uniformiser le réseau, inquiète les syndicats, qui y voient une tentative de réduire les coûts.

Le romancier italien poursuit les aventures de son commissaire Soneri dans une ville qu’il ne reconnaît plus, gangrenée par la xénophobie et la violence.

Agnès Curel retrace, dans un ouvrage illustré, l’histoire du bonisseur, amuseur populaire présent dans les rues, fêtes foraines et cabarets de la deuxième moitié du XIXe siècle.

Dans un ouvrage intime, le docteur compile les récits de thérapies d’une heure menées à distance avec des patients pendant le confinement.

L’impression du livre avait été suspendue au printemps après que l’Education nationale l’avait jugé non adapté à des élèves de CM2. Il paraît ce mercredi, laissant à son jeune lectorat le loisir de s’y plonger.

Le Marché de la poésie met jusqu’au 22 juin les auteurs palestiniens à l’honneur alors que cette célébration avait été refusée en 2024 par crainte des remous politiques. Une occasion de découvrir un genre littéraire profondément renouvelé.

Dans ce premier roman jeunesse, Olivia Elkaim raconte la disparition d’un chien à Belle-île-en-Mer.

Dans un roman encore plus délirant que les précédents, James Morrow se penche à son tour sur le dérèglement climatique.

Dans «Notre-Dame de tous les peut-être», la poète québécoise tisse des liens entre le Québec et la France avec la grâce des funambules.

Audrey Sabardeil nous transporte de ferry en bas-fonds dans tous les trafics d’une ville portuaire magnifique et dangereuse.

Avec «les Heures fragiles», l’autrice se met sur la pente du pathos.

Au menu cette semaine, la guerre en Israël, des destins de femmes en Amérique du Sud et une planète déserte.

L’autrice retrace l’histoire vraie d’une jeune Française ayant choisi, à la suite d’un coup de foudre, de vivre en Afghanistan au début du XXe siècle.

Nouvelle parution d’un roman d’aventures échevelé et oublié du père de Rouletabille, dans lequel un bourgeois de Paris est hanté par un criminel du temps de Louis XV.

Le livre paru en 1904 met en scène des personnages à qui le romancier donnera une nouvelle existence dans les plus célèbres «Fantôme de l’Opéra» et «Fauteuil hanté».

L’autrice retranscrit l’endophasie d’un félin de compagnie pour livrer une satire mettant à l’honneur l’anti-productivisme.

Un récit de la déportation en Sibérie par Gueorgui Demidov, qui retrace la persistance d’éclats d’humanité au milieu de l’insondable violence.

Dans «L’enfant hors champ», une fillette livrée à elle-même tente de décrypter le monde adulte et ses menaces.

Dans son nouveau roman, le Canadien s’attache à la vie toute tracée d’un bibliothécaire.

Kev Lambert rend hommage à l’écrivain et éditeur, mort le 9 juin à 79 ans.

Trois chercheurs signent une enquête fouillée sur la récupération des appartements loués par des Juifs à Paris pendant l’Occupation, jusque-là peu documentée.

Dans ce deuxième roman, Stéphanie Artarit nous emmène au zoo en compagnie de Bambi, une gamine dépenaillée, et nous offre un livre de la jungle bouleversant et cruel.

Toujours animée par le choix de la subjectivité et le refus de l’exhaustivité, la maison poursuit son portrait de pays en 80 mots avec l’archipel, vu par l’éditeur et podcasteur Aurélien Rossanino.

L’hôtel particulier qui abrite la Société des gens de lettres depuis près d’un siècle inaugure sa rénovation avec un festival les 13 et 14 juin dédié à l’intelligence collective.

Coécrit avec le collectif «Où atterrir ?», l’ouvrage posthume du philosophe invite à repenser la description de nos territoires de vie à l’heure de l’anthropocène, notamment grâce à des techniques alternatives d’expression publique.

Auteur d’une œuvre de plus de 80 livres, également éditeur et scénariste, l’écrivain est mort lundi 9 juin à 79 ans.