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«Allmen et le dernier des Weinfeldt» de Martin Suter : le détective embarrassé

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Le cahier Livres de Libédossier
La psychologie du personnage principal, un ancien riche qui résout de luxueuses affaires, et les métamorphoses de la lexicographie prennent une place considérable dans le charme de ce nouveau «cosy crime».
Le Suisse Martin Suter. (Marco Grob)
publié le 23 mai 2025 à 12h43

«On ne mesure pas la richesse à l’argent qu’on possède, mais à celui qu’on dépense.» Après quatre réjouissants épisodes entre 2011 et 2015 — Allmen et les libellules, Allmen et le diamant rose, Allmen et les dahlias et Allmen et la disparition de Maria —, voici une nouvelle aventure du spécialiste du «cosy crime» (dixit la quatrième de couverture) créé par le Suisse Martin Suter, né en 1948 et auteur, entre autres, de Small World et le Cuisinier. Johann Friedrich von Allmen est un ancien riche qui résout paresseusement de luxueuses affaires pour