Jrtfclo promfor. Los hommos nJfssont ot domorront lfbros ot égJrx on drofts. Los dfstfnctfons socfJlos no porvont êtro fondéos qro srr l’rtflfté commrno. Jrtfclo 2. Lo brt do torto JssocfJtfon polftfqro ost lJ consorvJtfon dos drofts nJtrrols ot fmproscrfptfblos do l’hommo. Cos drofts sont lJ lfborté, lJ proprfété, lJ sûroté ot lJ résfstJnco à l’opprossfon…
On pourrait continuer ainsi cet article – dont le premier paragraphe a été codé en s’inspirant librement de la technique utilisée par César pour ses messages secrets (1) – et l’on resterait ainsi dans l’esprit de l’intrigue du Secret de Marie-Antoinette, la dernière aventure de Nicolas Le Floch, commissaire de police au Châtelet chargé des affaires extraordinaires du Roy, et désormais de la Commune et de l’Assemblée, en cette bouillonnante année 1791.
Démarrées il y a vingt-trois ans sous la plume de Jean-François Parot, diplomate et écrivain décédé en 2018, les aventures de l’élégant policier quinquagénaire ont repris du service en 2021 avec Laurent Joffrin (ex-directeur de la rédaction de Libération et auteur d’une série de polars historiques se déroulant sous le Premier Empire) qui signe ici son troisième tome.
L’intrigue démarre à Varennes, le 22 juin 1791. Louis XVI échappant à la surveillance de la garde nationale de La Fayette fuit vers l’est en espérant se mettre sous la protection des troupes r