Critique
«Mektoub, My Love : Canto Due», les illusions perdues d’un été sans fin par Abdellatif Kechiche
Article réservé aux abonnés
Au terme d’une attente de huit ans, la suite des aventures d’Ophélie, Tony, Amin et les autres était projetée en compétition samedi 9 août au festival de Locarno. Entre parodie de sitcom et mélancolie des destins bloqués, de magnifiques retrouvailles.