L’idée
Comment donner vie au concept de dance’o’drome, qui donne son nom au cinquième album de Yuksek et créer «l’univers mental d’un dancefloor idéalisé» ? D’abord faire écouter le disque à Anatole Royer, de Parade Studio, en charge de créer pour la pochette «le lieu imaginaire de ce dance’o’drome, un lieu onirique, celui du plaisir simple et pur de la danse et du lâcher-prise, avec des clins d’œil à l’enfance, dans un univers gentiment psychédélique, coloré et chaleureux», pour un résultat «en accord avec la tonalité hédoniste et plutôt généreuse de l’album». «Je défends l’écriture d’un album cohérent même s’il n’est pas monolithique et l’univers graphique doit refléter cela», complète-t-il.
Les couleurs
«Il y a beaucoup de couleurs sur la pochette, mais ce ne sont quasiment que des couleurs primaires. J’aime cette idée d’un univers «soft-psychédélique», très coloré et détaillé», avoue le producteur, pour qui les pochettes de chaque single extrait de l’album ont un sens bien précis. «Entre les différentes pochettes, les couleurs principales varient, car elles évoquent les univers des différents morceaux. Chaque pochette a ainsi un sens : le premier single était une reprise d’un morceau brésilien de Leci Brandao et l’univers de la pochette est tropical, chaud et solaire, quand la pochette de The Night évoque un dance’o’drome plus sombre, mais toujours chal