Cet été, avec la collection de la BNF, «Libé» s’ouvre aux photographes du pays-continent (18/30). Aujourd’hui, les ombres et lumières d’un monde sous-marin peuplé de raies, tortues et requins-citrons.

Cet été, avec la collection de la BNF, «Libé» s’ouvre aux photographes du ­pays-continent (17/30). Aujourd’hui, rencontre avec Elza Lima et les habitants des bords de l’Amazone, en pleine évolution.

Cet été, avec la collection de la BNF, «Libé» s’ouvre aux photographes du ­pays-continent (16/30). Aujourd’hui, des photographies de poissons plantes et de rochers corps. La nature humaine.

Des vents violents ont balayé l’Ecosse et le nord de l’Angleterre avec une force «inhabituelle» pour un mois d’août. Retour en images.

Cet été, avec la collection de la BNF, «Libé» s’ouvre aux photographes du pays-continent (15 /30). Aujourd’hui, un œil tendre posé sur les favelas de Rio, là où audace, amour et identité prennent vie.

Le château de la ville d'Indre-et-Loire met à l’honneur le travail de l’artiste qui, par des associations grinçantes entre les images et les mots, trouble l’imagerie festive du Brésil pour en dénoncer les inégalités structurelles.

Cet été, avec la collection de la BNF, «Libé» s’ouvre aux photographes du ­pays-continent (14/30). Aujourd’hui, rencontre avec São Paulo et ses habitants invisibilisés.

Cet été, avec la collection de la BNF, «Libé» s’ouvre aux photographes du pays-continent (12/30). Aujourd’hui, la «Missão Francesa» et l’influence française sur l’identité brésilienne selon André Penteado.

Cet été, avec la collection de la BNF, «Libé» s’ouvre aux photographes du pays-continent. Aujourd’hui, les portraits de Cristiano Mascaro, qui parvient avec délicatesse à nous plonger dans l’univers des gens qu’il rencontre.

(9/30) Cet été, avec la collection de la BNF, «Libé» s’ouvre aux photographes du pays-continent. Aujourd’hui, la série «Na Lona» sublime les transgressions grisantes du carnaval de Rio populaire des années 80.

Dans une riche exposition, le musée des Beaux-Arts de Caen s’attelle aux frontières entre terre et ciel et ce qu’elles disent de l’évolution du monde, du Moyen Age à aujourd’hui.

Cet été, avec la collection de la BNF, «Libé» s’ouvre aux photographes du pays-continent (8/30). Aujourd’hui, plongée sous le cagnard de la populaire et bondée plage de Ramos, en banlieue de Rio de Janeiro.

(7/30) Cet été, avec la collection de la BNF, «Libé» s’ouvre aux photographes du pays-continent. Aujourd’hui, la revisite des codes de la photographie anthropométrique en réponse aux violences systémiques de la police.

A Mougins, une rétrospective permet de mesurer l’ampleur du travail du photographe qui, dès la fin des années 1950, aura placé la beauté noire et les luttes des Afro-Américains au cœur d’un projet politique, culturel et artistique.

(6/30) Cet été, avec la collection de la BNF, «Libé» s’ouvre aux photographes du pays-continent. Aujourd’hui, des visages anonymes d’anciens esclaves, retravaillés comme des figures de tarot aux pouvoirs mystérieux.

(5/30) Cet été, avec la collection de la BNF, «Libé» s’ouvre aux photographes du pays-continent. Aujourd’hui, on longe le littoral du nord au sud dans un tendre road-trip à valeur de documentation sociologique.

(4/30) Cet été, avec la collection de la BNF, «Libé» s’ouvre aux photographes du pays-continent. Aujourd’hui, un éloge de la lenteur dans la ville capturée à l’imposante chambre photographique 4x5.

Cet été, avec la collection de la BNF, «Libé» s’ouvre aux photographes du ­pays-continent (3/30). Aujourd’hui, une série sur l’existence suspendue et précaire au bord de la rivière de l’île Marajó.

Cet été, avec la collection de la BNF, «Libé» s’ouvre aux photographes du ­pays-continent (2/30). Aujourd’hui, des autoportraits «cliniques» dérangeants, comme des radiographies des violences muettes et invisibles subies par les femmes.

Cette année, on s’enfonce dans le Far West espagnol, on se cache derrière son appareil, on se détend en bord de mer et on se plonge dans le patrimoine architectural africain.

Avec son «Primitive Manifesto», le plasticien suisse réveille le festival feutré avec son univers fou mêlant tous les médiums.

L’Américain multiprimé couvre cette année sa 36e édition de la Grande Boucle. Pour le «Libé des photographes», il commente des clichés réalisés par Sebastião Salgado sur l’édition 1986 et parle de sa propre manière de regarder le cyclisme.

En mars, des images de «Nouvelles Reines» à la basilique Saint-Denis ont été recouvertes de draps par des identitaires après une violente campagne sur les réseaux. La photographe raconte comment elle a vécu cette atteinte à son travail.

Une rétrospective en 100 photos donne à voir tous les thèmes abordés par l'artiste sicilienne talentueuse et courageuse : la violence de la mafia, la misère, l’érotisme ou encore les malades.

Les photographes de cette 56e édition «indocile» du festival, qui se tient jusqu’au 5 octobre, avancent cette année aux côtés des exclus, des marginaux, des peuples colonisés.

Face aux attaques réactionnaires de plus en plus visibles et violentes contre les artistes, et surtout les photographes, «Libération», à l’occasion des Rencontres d’Arles, réaffirme son engagement.

Dans un même mouvement, la photographe américaine mêle dans une exposition des clichés de ses proches aux œuvres d’art classique qu’elle a immortalisées au cours des vingt dernières années.

Figure majeure de la photo d’architecture, le plasticien discret camoufle derrière ses compositions un regard inquiet sur le monde.

Porter atteinte aux œuvres est devenu un mode d’action pour tout type de revendications ou protestations, et la photographie n’est pas épargnée. Face à ces agressions, le secteur s’organise.

Deux siècles après la photo de Nicéphore Niépce, la France s’apprête à célébrer cette invention qui a bouleversé notre vision du monde, explique la directrice du bicentenaire organisé par le ministère de la Culture.

Du Brésil à l’Australie, des Etats-Unis à l’Italie, les expositions du festival rendent compte de la résistance et du sens de la solidarité des communautés rejetées.

Cette année pour la sélection dans le cadre du Grand Arles express, on découvre la croissance socioculturelle d’une commune près de Nice, on explore le sens des images et on voyage au Brésil.

Redessinés, remodelés, grattés les platanes du Midi sont au cœur des tirages de Raphaëlle Peria, lauréate du BMW Art Makers 2025 et sculptrice de photographies.

De l’Australie aux Etats-Unis des 70’s en passant par la favela de Belo Horizonte au Brésil, voyage dans les expositions photo sélectionnées par «Libération», à découvrir jusqu’au 5 octobre.

Toutes deux ont été tuées ce printemps, l’une à Gaza, l’autre à Kharkiv. Adviendra-t-il le temps où l’art torturé de Margarita Polovinko, où les photos déchirantes de Fatma Hassouna ne refléteront plus la réalité ?

Quatre expositions distinctes ont pour dénominateur commun la recherche d’une figure parentale évanouie.

L’exposition, rassemblant artistes autochtones et non-autochtones, met la lumière sur des photographes méconnus, attachés à peindre la pluralité de leur vaste territoire, dont l’histoire est inextricablement liée à la colonisation.

A la tour Luma sont exposés de superbes clichés de l’artiste mort en 2014, sensuels et intimes, où l’on croise de nombreuses figures de la contre-culture américaine des années 70-80.

Les photos d’Anna Fox et de Karen Knorr sur la célèbre Route 1, dans un pays bouleversé par la présidence Trump, dialoguent avec celles prises en 1954 par Berenice Abbott.

Les fondateurs de la galerie Lumière des roses à Montreuil, fermée en janvier, exposent leur «Eloge» du vernaculaire dans le cadre des Rencontres d’Arles, point d’orgue de vingt ans passés à exhumer et collectionner des milliers de clichés.