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Cathy, 87 ans. Buraliste à la retraite: «Il faudrait de l'apaisement.»Stéphane Dubromel/Hans Lucas pour Libération

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EN IMAGES - A Lille : pourquoi votez-vous ?

Prénom, âge, profession, et pourquoi votez-vous ? Voici les quatre questions que notre photographe Stéphane Dubromel a posées à quelques votants qui ont accepté d’être photographiés à l’occasion du second tour des élections législatives.
publié le 7 juillet 2024 à 14h08
Cathy, 87 ans. Buraliste à la retraite: «Il faudrait de l'apaisement.»
Stéphane Dubromel/Hans Lucas pour Libération
Marguerite, 18 ans. Etudiante. «C'est un devoir citoyen. C'est basique. Les femmes se sont battues pour cela, et c'est important de venir voter. Je ne vote pas que pour faire barrage, mas pour faire valoir nos droits.»
Stéphane Dubromel/Hans Lucas pour Libération
Amaury, 41 ans, directeur artistique dans la publicité. «Je vote toujours, c'est un droit, une évidence. J'ai toujours été habitué à voter avec mes parents, on se retrouvait pour déjeuner en famille. Je n'attendais pas une dissolution, voter est d'autant plus important.»
Stéphane Dubromel/Hans Lucas pour Libération
Jean, 74 ans. Professeur de philosophie à la retraite. «Pourquoi je vote; ça me semble clair. Tout simplement le danger, on sait lequel. Cela justifie d'y aller, bien que cela ne suffise pas.»
Stéphane Dubromel/Hans Lucas pour Libération
Léa, 22 ans. Etudiante en chant lyrique. «Je suis venue voter car c'est un devoir, c'est important pour le pays d'aller voter. Beaucoup souhaitent du changement, on peut avoir cet espoir.»
Stéphane Dubromel/Hans Lucas pour Libération
Louis, 51 ans. Infirmier. «Les législatives et les municipales sont pour moi les élections les plus importantes. Quand bien même il y aurait une cohabitation, c'est le Parlement qui fait les lois. Je voulais exprimer ma voix, car rien n'est joué d'avance.»
Stéphane Dubromel/Hans Lucas pour Libération
Théa, 25 ans. Make up artist. «Je vote pour plein de choses. Pour nos droits. Pour les femmes. Pour notre avenir. Les futurs enfants. Pour les minorités. Pour faire barrage. Et pour ce que cela va impacter après.»
Stéphane Dubromel/Hans Lucas pour Libération
Quentin, 29 ans. Auditeur financier. «Voter est un droit et un devoir, je tenais à appliquer cela. Encore plus aujourd'hui. Nous sommes dans une période historique, un moment charnière de l'histoire.»
Stéphane Dubromel/Hans Lucas pour Libération
Olivia, 35 ans. Travaille dans la finance. «C'est un devoir, c'est important de se faire entendre vue la situation. Les gens pensent que voter est juste un droit, mais on s'est battu pour ça. Quand on tient à la démocratie, c'est important de se faire entendre, ce n'est pas une option.»
Stéphane Dubromel/Hans Lucas pour Libération
Pascal, 55 ans. Professeur de mathématiques. «Le vote est une respiration citoyenne, il faut que chacun puisse exprimer ses choix. On est assez peu entendu, c'est l'occasion. On verra ce qu'il adviendra.»
Stéphane Dubromel/Hans Lucas pour Libération
Cathy, 87 ans. Buraliste retraitée. «Je vote pour essayer que tous se mettent d'accord. Que tout aille bien, qu'il n'y ait pas de disputes. C'est pas facile. Il faudrait de l'apaisement.»
Stéphane Dubromel/Hans Lucas pour Libération
Clémentine, 37 ans. Directrice technique. «C'est un acte citoyen, un acte important vu le contexte. Le vote barrage n'est pas le meilleur choix. Depuis que je vote, je n'ai eu que des votes barrages au second tour. C'est décevant et frustrant. Ne faudrait-il pas que le barrage se brise, avec un cadre ?»
Stéphane Dubromel/Hans Lucas pour Libération
Julien, 38 ans. Ingénieur. «Je viens faire barrage, mais cela m'emmerde de donner ma voix à un parti auquel je ne crois pas. Le vote blanc n'est pas comptabilisé, alors on vote par défaut. A force de faire barrage, on a laissé la poussière sous le tapis.»
Stéphane Dubromel/Hans Lucas pour Libération