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A Mayotte après le passage du cyclone le 14 décembre. «Après le déluge, c'est dans un calme et un silence de stupéfaction que l'on est sorti de nos maisons ou de nos abris de fortune pour découvrir le chaos que Chido avait laissé derrière lui», a expliqué le photographe David Lemor.David Lemor/Libération

Dans l'œil de Libé

EN IMAGES - A Mayotte, les ravages de Chido sous le regard de David Lemor

Le photographe, face à la dévastation du territoire causé par le passage du cyclone le 14 décembre n’a pas eu d’autre réflexe que celui de documenter la catastrophe. Retrouvez une sélection pour «Libération».
ParService Photo
photo David Lemor
publié le 27 décembre 2024 à 10h51
A Mayotte après le passage du cyclone le 14 décembre. «Après le déluge, c'est dans un calme et un silence de stupéfaction que l'on est sorti de nos maisons ou de nos abris de fortune pour découvrir le chaos que Chido avait laissé derrière lui», a expliqué le photographe David Lemor.
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Le Nord mahorais, aux paysages méconnaissables, a attendu une semaine avant d'être ravitaillé en eau et en vivres.
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Madame Halloua, et son mari, habitants du quartier de la Convalescence à Mamoudzou ont vu une partie de leur maison s'envoler.
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Dans le bidonville de Cavani les gens s'activent et la priorité est de trouver de l'eau. Les enfants passent la journée à aller en chercher dans le quartier voisin, où se trouve une fontaine à disposition des habitants.
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Dans le nord de Mayotte les aides et les secours tardent à venir. Le manque d'eau obligent les habitants des communes du Nord-Ouest à venir chercher de l'eau dans la rivière pour les tâches ménagères.
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Un habitant du bidonville de Cavani transporte tout ce qui lui reste dans sa valise. Effrayé par ce qu' il vient de vivre, il cherche à être héberger en dehors de la zone complétement dévastée.
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Malgré le choc il faut reconstruire vite. Cette habitante du bidonville est épuisée et travaille chaque jour à redresser sa maison de tôles sous un soleil de plomb.
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Cavani fait de logements en taule a été totalement soufflé.
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L'hôpital de campagne installé sur le stade de Cavani a ouvert ses portes le 24 décembre. Les patients se présentent nombreux dès l'ouverture. Des mamans et leurs bébés attendent une consultation dans le couloir où tous les services se sont concentrés.
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Le lendemain du passage du cyclone, l'île de Petite-Terre ne ressemble plus à ce qu'elle était. Certains ont déjà commencé à reconstruire leur case et d'autres, moins touchés par la catastrophe, aident les blessés.
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Un jeune homme reçoit des soins à l'hôpital de campagne de Cavani.
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La maison de cette petite fille dans le Quartier des Badamiers à Labattoir à Petite-Terre est totalement détruite. Le premier jour des vacances de Noël s'est transformé en cauchemar pour elle et sa famille.
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