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Blocage du périphérique vers 6 h 45, porte d'Aubervilliers, dans le XIXe arrondissement de Paris.Denis Allard/Libération

Dans l'œil de Libé

EN IMAGES - Bloquons tout: la colère dans la rue

Près de 500 actions ont marqué le mouvement Bloquons tout, réunissant 175 000 personnes dans tout le pays. Retour sur la mobilisation vue par les photographes de Libé de Marseille à Paris en passant par Rezé et Hénin-Beaumont.
publié le 10 septembre 2025 à 16h50
Blocage du périphérique vers 6 h 45, porte d'Aubervilliers, dans le XIXe arrondissement de Paris.
Denis Allard/Libération
Vers 6h, la police débloque l'entrée du dépôt de bus Belliard était bloquée par une centaine de manifestants, dans le XVIIIe arrondissement de Paris
Denis Allard/Libération
Au lycée Hélène-Boucher, dans le XXe arrondissement de Paris
Denis Allard/Libération
Blocage du périphérique, porte du Pré-Saint-Gervais, dans le XIXe arrondissement de Paris.
Denis Allard/Libération
A Rezé (Loire-Atlantique), des manifestants ont tenté de bloquer le pont de Cheviré, près de Nantes. Ils ont été repoussés par les forces de l'ordre.
Theophile Trossat/Libération
Sur le rond-point des vaches à Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais).
Richard Baron/Libération
Tentative de blocage du pont de Cheviré.
Theophile Trossat/Libération
Tentative de blocage du pont de Cheviré.
Theophile Trossat/Libération
A Marseille, plusieurs milliers de personnes ont manifesté.
Patrick Gherdoussi/Libération
A Marseille.
Patrick Gherdoussi/Libération
Château Robert avec des manifestations qui bloquent l’entrée de l’usine eurolink , société, qui fabrique des composants de projectiles utilisés par l’armée israélienne
Patrick Gherdoussi
AG des cheminots gare de Lyon à Paris.
Cyril Zannettacci/Vu pour Libération
AG des cheminots à Paris.
Cyril Zannettacci/Vu pour Libération
AG des cheminots à Paris.
Cyril Zannettacci/Vu pour Libération
Technopole Château-Gombert dans le 13e arrondissement de Marseille. Plus d'une centaine de personnes manifestent devant le siège d'Eurolinks, société fabriquant des composants pour les munitions utilisées par l'armée israélienne.
Patrick Gherdoussi/Libération