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Champion de France de cross-country 2024, Nicolas-Marie Daru porte la flamme olympique au milieu du cimetière américain de Colleville, dans le Calvados, en compagnie de Maxime Wille, arrière-petit-fils du vétéran Léon Gautier.Benoit Tessier/REUTERS

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EN IMAGES - Jeux olympiques 2024 : la flamme, des bords de Loire aux plages du Débarquement

Sur son passage, ils sont des milliers à se masser pour grappiller un peu de l’esprit olympique. Depuis Marseille et jusqu’à Paris, la flamme va circuler de torche en torche. Retour en images sur une semaine à travers la France.
publié le 31 mai 2024 à 16h16
Champion de France de cross-country 2024, Nicolas-Marie Daru porte la flamme olympique au milieu du cimetière américain de Colleville, dans le Calvados, en compagnie de Maxime Wille, arrière-petit-fils du vétéran Léon Gautier.
Benoit Tessier/REUTERS
La flamme olympique traverse la ville de Châtellerault dans la Vienne.
Pascal Sonnet/Hans Lucas
Le passage de la flamme à Châteauroux, le 27 mai.
Guillaume Souvant/AFP
Dans la Creuse, le 27 mai, la flamme olympique passe par-dessus la Creuse sur une passerelle himalayenne de 150 mètres de long, spécialement installée pour l'occasion, entre Cuzion et Baraize.
Guillaume Souvant/AFP
La flamme a navigué le 28 mai sur la Loire pour traverser le village de Montsoreau, transportée par un marinier accompagné par une flotille pavoisée de bateaux traditionnels.
Pascal Avenet/Icone Sport.Abaca
Jeudi 30 mai, la flamme était dans le Calvados, terminant sa course devant l'hôtel de ville de Caen, où était prévu un spectacle de hip hop. Le graffeur SoLiCe (aka Etienne Carpentier) a été le 178e et dernier relayeur de la journée, suivie par 90 000 personnes, selon le département.
Franck Castel/ABACA
Pénélope Leprévost, championne olympique de saut d’obstacles par équipe lors des JO de 2016 à Rio, a mené un relais équestre avec 23 autres cavaliers sur Omaha Beach, à Saint-Laurent-sur-Mer, jeudi 30 mai.
Lou Benoist/AFP
Ce vendredi, la flamme continuait son parcours sur les chemins du Débarquement allié. Ce sont 24 jeunes âgés de 15 à 24 ans du Service national universel qui l'ont portée à Sainte-Mère-Eglise, première commune libérée par les parachutistes américains en 1944.
Lou Benoist/AFP
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