
Dans l'œil de Libé
EN IMAGES - Paris 2024 : les volontaires, ces remarquables petites mains olympiques
publié le 8 septembre 2024 à 10h52
Comme tous les jours à la fin des épreuves, les volontaires entament une chorégraphie endiablée pour accompagner les spectateurs qui sortent du site. Come ici à La Défense Arena pour la para-natation, le 29 août.
Florence Brochoire/LibérationL'accueil du public au compte goutte avant la cérémonie d’ouverture des Jeux Paralympiques de Paris 2024, à la place de la Concorde le 28 août.
Florence Brochoire/LibérationIls étaient initialement 300 000 candidats, pour 45 000 retenus il y a un an. Avec 101 départements représentés, 20 % de volontaires internationaux venant de 150 pays, la couverture est large. Un tiers des volontaires est issu du monde sportif, tandis qu’environ 20 000 ont été présentés par des partenaires et sponsors, comprenant des entreprises mais aussi des fédérations, des collectivités… Les plus âgés auront plus de 90 ans.
Florence Brochoire/LibérationParmi leurs rôles, celui de guider les spectateurs sur les sites olympiques. Mais aussi les journalistes, les officiels, les athlètes...
Florence Brochoire/LibérationOvation du public à chaque fois que le sol est nettoyé par des volontaires. Ici lors du quart de finale de Taekwondo au Grand Palais le, 29 août.
Florence Brochoire/LibérationIls ne sont pas payés, ils ont dû se débrouiller pour rejoindre Paris et s’y loger, avec pour seules compensations un repas par jour et un passe Navigo.
Florence Brochoire/LibérationDu haut de leurs chaises d'arbitre de tennis, les volontaires, près des sites olympiques, font des blagues et guident le public. Ici à l'Arena Paris Sud le 31 août pour les Jeux paralympiques.
Florence Brochoire/LibérationAu Stade de France, ils sont 1 200 volontaires. Pour les services aux spectateurs, c’est un tirage au sort qui détermine chaque jour quel poste ils vont occuper.
Florence Brochoire/LibérationAu goalball, en plus de guider les spectateur, il faut leur expliquer les règles : un silence absolu pour que les joueurs entendent le grelon du ballon.
Florence Brochoire/LibérationPreuve de l'engouement total : depuis le début des Jeux olympiques, les plateformes de revente en ligne sont inondées de tenues de volontaires revendues à des prix exorbitants. Allant de 25 euros la paire de chaussettes à 250 euros pour le chapeau de bénévole.
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