
Dans l'œil de Libé
Le Brésil en mille regards : avec «Translitorânea», Andrea Eichenberger fait monter la côte
Par
Marie Audinet
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Photos : Andrea Eichenberger
publié le 24 juillet 2025 à 7h44
A Itamaraju, en 2013.
Andrea Eichenberger/Collection BnFA Itamaraju, en 2013.
Avec «Translitorânea», on arpente la BR-101 qui longe le littoral brésilien du nord au sud et inversement, loin des grandes métropoles et des images d’Epinal.
Andrea Eichenberger/Collection BnFHelena Francelina. A Touros, en 2014.
On s’arrête dans les petits villages, quand le décor semble propice et que les rencontres s’y prêtent.
Andrea Eichenberger/Collection BnFA Ribeirão en 2014.
La photographe Andrea Eichenberger, armée de son Hasselblad, nous emporte avec elle à la découverte d’un Brésil méconnu.
Andrea Eichenberger/Collection BnFLe chef Araçari et ses fils. A Itamaraju, en 2013.
La photo et son appareil deviennent un catalyseur de rencontres.
Andrea Eichenberger/Collection BnFLuciano, Natalino, José, Thiago, Isaías. A Tanguá, en 2013.
Son travail est aussi bien une errance personnelle aux allures de road-trip qu’une documentation sociologique.
Andrea Eichenberger/Collection BnFMaria Angélica. A Conceição da Feira, en 2013.
De ces rencontres intimes, on n’aura pas beaucoup plus d’informations que de simples prénoms et des points sur une carte.
Andrea Eichenberger/Collection BnFA Bojuru, en 2013.
Mais à travers son regard tendre et léger, se dessine un Brésil différent, complexe, qui laisse entrevoir un syncrétisme étonnant.
Andrea Eichenberger/Collection BnFA Rio do Fogo, en 2013.
Ce travail documentaire est d’autant plus précieux que la BR-101 est aujourd’hui en voie de privatisation.
Andrea Eichenberger/Collection BnFAlessa. A Canguaretama, en 2014.
Unique route qui parcourt le littoral, elle pourrait alors perdre sa capacité à relier entre elles et au vaste pays les populations qui la jalonnent.
Andrea Eichenberger/Collection BnF