Libération
Felipe Fittipaldi/Coll. BNF

Dans l'œil de Libé

Le Brésil en mille regards : les plages de labeur de Felipe Fittipaldi

Cet été, avec la collection de la BNF, «Libé» s’ouvre aux photographes du ­pays-continent. Aujourd’hui, Felipe Fittipaldi raconte le quotidien d’immigrés sénégalais.
Par
Margot Samson
publié le 13 août 2025 à 18h10
Felipe Fittipaldi/Coll. BNF
La série «SENEGAL-RIO» témoigne de la vie des immigrés sénégalais vau Brésil.
Felipe Fittipaldi/Coll. BNF
Entre l’appareil photo et ce fond, des hommes dont Felipe Fittipaldi flashe le portrait, de face, de trois-quarts, de profil, des distances allant du cadre très serré au plein pied très large.
Felipe Fittipaldi/Coll. BNF
En arrière-plan la plage, longue, puis la ville, ses immeubles et, parfois, des morceaux de reliefs.
Felipe Fittipaldi/Coll. BNF
Le photographe brésilien a vécu dans le même quartier que les immigrés sénégalais.
Felipe Fittipaldi/Coll. BNF
La communauté sénégalaise fait partie du deuxième flux migratoire le plus important qu’ait connu le pays d’Amérique du Sud.
Felipe Fittipaldi/Coll. BNF
Felipe Fittipaldi met l’accent sur le travail exercé par ceux qu’il prend en photo, conditionnant l’envoi d’argent à leurs familles restées au Sénégal.
Felipe Fittipaldi/Coll. BNF
Des envois d'argent qui garantissent en partie le maintien d’un lien affectif avec leurs proches malgré la distance.
Felipe Fittipaldi/Coll. BNF