Critique

«Karamazov», père et impairs

Article réservé aux abonnés
Dans son adaptation farcesque du roman de Dostoïevski au théâtre de l’Odéon, Sylvain Creuzevault excelle à souligner la versatilité des personnages et l’extrême ambiguïté des discours. Mais endosse aussi des habits plus académiques qu’à ses débuts.
publié le 29 octobre 2021 à 14h07

Les plus lus