Chevelure blonde, lunettes noires, c’est bien sûr Laure Adler, chaque soir ou presque au théâtre, ce mois-ci pour le festival d’Avignon. Ce mercredi 9 juillet, elle est à l’initiative d’un événement en soutien à Boualem Sansal.
Etre en retard, c’est possible au théâtre ?
Je suis en retard partout donc aussi comme spectatrice. Avignon est peut-être l’un des rares endroits où j’essaie d’être en avance, car il y a toute une conversation entre des gens qui ne se connaissent pas, se parlent entre eux des spectacles qu’ils ont vus, qu’ils espèrent voir, qui précède à la représentation. Une forme de brouhaha paisible dans l’attente. Les trompettes nous rappellent que ça va commencer. Cette théâtralisation ne me donne pas envie d’être en retard.
Et à la radio,