Créée il y a une douzaine d’années, la pièce, qui porte sur la puissance de l’amour et son absence, revient au Théâtre de la porte Saint-Martin avec les mêmes acteurs qu’à l’origine. Plus poignante encore. Au Théâtre de la porte Saint-Martin à Paris, jusqu’au 24 juillet. Notre critique ici.

Deux ans déjà que le spectacle cartonne à juste titre : seule sur scène, Julie Duval évoque, à travers une dizaine de personnages, une histoire personnelle d’émancipation qui frappe par la justesse du jeu comme de l’écriture. A la Scala (Xe arrondissement de Paris) jusqu’au 10 novembre et à Avignon, du 11 au 21 juillet. Retrouvez notre portrait de Julie Duval.

Dans un seul-en-scène couronné de succès depuis quinze ans, Bernard Crombey évoque un fait divers des années 70 autour de la rencontre ambiguë entre une fillette et un type que tout accuse. A tort ? Notre critique.

Dans une courte et belle mise en scène et à l’aide de marionnettes de glace, Elise Vigneron retrace chaque étape de la vie des personnages du roman de Virginia Woolf. Au théâtre de la Tempête, 75012, jusqu’au 26 mai. Retrouver notre critique.

En adaptant sur scène le récit de Laurent Gaudé autour des attentats de 2015, Denis Marleau ne parvient pas à dépasser le lyrisme appuyé du texte. Au théâtre de la Colline, Paris, jusqu’au 9 juin. Lire notre critique.

La metteuse en scène Silvia Costa propose une adaptation amputée de la tragédie shakespearienne à la scénographie trop solennelle, heureusement contrebalancée par la justesse de l’interprétation. Jusqu’au 20 juillet à la Comédie-Française. Retrouvez notre critique.

La nouvelle production de l’opéra de Massenet, d’après le roman fondateur de Cervantès, est dirigée amoureusement par Patrick Fournillier, mise en images avec finesse par Damiano Michieletto, et portée par une belle distribution. Jusqu’au 11 juin à l’Opéra Bastille. Notre critique à lire.

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