Pour la justice américaine, le comportement de Kevin Spacey accusé de plusieurs agressions sexuelles à fait perdre à la série plusieurs millions de dollars.

La saison 4 de la série française «Dix pour cent» a été primée lundi soir aux International Emmy Awards, une consécration américaine pour ce récit plein d’humour sur les agences de stars du cinéma et qui a bénéficié du tremplin Netflix.

La minisérie «Dopesick» se penche sur la montée en puissance du groupe pharmaceutique qui a commercialisé et banalisé l’oxycontin, à l’origine d’une crise massive des opioïdes aux Etats-Unis.

La subtile et touchante série canadienne de Bilal Baig met en scène une jeune personne qui se débat pour vivre sa transidentité face à une famille traditionaliste.

Amazon diffuse l’adaptation en dix épisodes d’une nouvelle écrite par Stephen King. Un conte gothique convenu.

La série «American Crime Story : Impeachment» dénonce aussi, derrière la réhabilitation de figures féminines dénigrées, les attaques conservatrices à l’égard d’un président démocrate.

Deux épisodes de la série «Pine Gap» sont invisibles aux Philippines depuis ce lundi, après que l’intégralité de la série a déjà été censurée au Vietnam. En cause : une carte favorable aux revendications territoriales chinoises.

Costumes pour Halloween, applications, jeux… la vente des produits dérivés de la série coréenne provoque une avalanche de retombées financières pour Netflix.

La série de l’humoriste américain Larry David, dans laquelle il joue son propre rôle, revient pour une onzième saison attendue, à coups d’impros et de guest stars.

Connu pour son rôle de gérant du Central Perk dans la série iconique des années 90, l’acteur américain souffrait d’un cancer de la prostate. Il avait 59 ans.

Epopée maritime en eaux arctiques au milieu du XIXe siècle, cette mini-série d’aventure à la Jack London est habile sans surmonter son académisme congelé.

Après deux années d’absence, la série de Jesse Armstrong revient dans une troisième saison qui pousse encore plus loin le déchirement intrafamilial. Avec le fils Kendall au centre des regards.

Le principal syndicat du secteur, qui représente des dizaines d’employés, a obtenu à l’arrachée un accord améliorant le sort des équipes de tournage. Le spectre d’un débrayage a pesé dans la balance.

Blue Origin lance ce mercredi à 16 heures son deuxième vol touristique : un saut de puce de dix minutes à la frontière de l’espace, avec un équipage de quatre privilégiés, dont l’acteur qui incarnait le capitaine Kirk dans «Star Trek».

La série au succès mondial s’est imposée plus tardivement dans son pays d’origine, où le secteur du divertissement, qui a vu l’arrivée de Netflix comme une aubaine, s’inquiète désormais de sa dépendance croissante à la plateforme.

Le géant du streaming investit dans des contenus locaux à visée internationale. Le succès de «Squid Game», à l’image de ceux de «Lupin» ou de «la Casa de Papel», prouve que cette stratégie fonctionne.

Elle est en passe de devenir la série numéro 1 de Netflix : Squid Game. Sortie le 17 septembre sur la célèbre plateforme de streaming, cette production sud-coréenne sanglante connaît un succès mondial.

Derrière la violence de la série phénomène de Netflix, qui diffuse le plus d’idées de gauche actuellement ? Un candidat à la présidentielle ou «Squid Game» ?

Après un incident en Belgique, l’Education nationale craint l’irruption de jeux dangereux, inspirés de la série sud-coréenne, dans les cours d’écoles françaises même si, pour l’instant, aucun phénomène n'a été détecté.

Ultraviolence, critique sociale, complotisme... la série coréenne appuie sur tous les boutons et tient le spectateur en haleine par son suspense sadique. Mais la recette est connue et ne parvient pas à cacher le manque d’originalité.

Les héros couards, veules et infréquentables du chef-d’œuvre absurde des années 90, débarquent sur Netflix.

Voulant jouer la transparence sur ses chiffres de visionnage, l’un des patrons de l’entreprise a gracieusement consenti à préciser les films et séries les plus vus de la plateforme de streaming, en deux maigres diapos.

Des détectives du dimanche enquêtent dans leur immeuble new-yorkais : comique garanti avec la série réunissant Selena Gomez et deux anciennes gloires de l’humour télé et ciné US, Steve Martin et Martin Short.

L’acteur américain, qui était notamment connu pour son rôle d’Omar dans la série «The Wire», a succombé à une «overdose accidentelle» ont annoncé les services médicaux new-yorkais.

Impressionnant par son ampleur, ses effets spéciaux et la destinée de ses personnages, le premier épisode de la série adaptée de l’œuvre d’Isaac Asimov se présente comme le «blockbuster» d’Apple TV+.

Dans la série qu’elle a cocréée, Agnès Hurstel interprète une stand-uppeuse de 25 ans promue belle-mère malgré elle tandis que sa carrière décolle.

Si la diversité tant vantée n’était guère au rendez-vous de la cérémonie, on peut saluer la récompense attribuée à Michaela Coel, créatrice de «I May destroy you», partie à la BBC après avoir tenu tête à Netflix.

L’auteur israélien Hagai Levi, créateur de la série psychanalytique «BiTipul», revisite le film d’Ingmar Bergman, inversant les personnages et livrante portrait empathique et douloureux d'un couple qui se déchire.

Sandra Oh, extraordinaire en cheffe du département de littérature d’une fac de la côte Est, donne à cette fiction, trop brève, toute sa profondeur dans la description des rouages du pouvoir.

Ecrite puis adaptée en série pour Arte par l’écrivain italien Niccolò Ammaniti avant l’apparition du Covid, "Anna" est une fable cruelle où une épidémie condamne les enfants à l’âge de la puberté.

Au lendemain des attentats, le cinéma américain a dû s’adapter autant à l’absence béante du World Trade Center qu’à son hyperprésence dans tous les esprits. Un trauma qui a marqué le septième art autant sur la forme que sur le fond.

L’acteur américain, interprète d’Omar Little dans la série «The Wire», a été retrouvé mort lundi dans son appartement à Brooklyn, à l’âge de 54 ans.

L’acteur de 54 ans a été retrouvé sans vie dans son appartement de Brooklyn lundi.

Parmi les créations, moins Covido-centrées que prévu, présentées lors de la troisième édition du festival lillois, on retrouve de joyaux et bonnes surprises qui concentrent leur regard sur des collectifs et des communautés.

La maison parisienne se lance dans la fiction et collabore avec la chaîne britannique pour une minisérie qui lui permet de promouvoir ses créations, dans un mélange des genres assumé.

La police est omniprésente dans les fictions télé françaises, mais l’essentiel de la production offre une vision édulcorée du travail des agents, où les dérives seraient absentes.

Après une année vierge, le directeur de Séries Mania, Frédéric Lavigne, se prépare à une édition de transition. Elle sera marquée par la mise en place d’une plateforme numérique permettant de suivre le rendez-vous lillois à distance.

Avec un humour méta et des personnages bien croqués, la série horrifique dépiaute les coulisses de l’industrie.

Dans une série animée aussi artificielle qu’industrielle, le géant américain continue d’étirer ad nauseam ses franchises et mondes imbriqués.

Joliment instable, la série douce-amère de Joseph Gordon-Levitt divertit mais ne parvient pas à construire un ensemble transcendant.