«Libé» vous guide dans la jungle des sorties séries, d’où émergent cette semaine deux thrillers au démarrage haletant.

Ateliers, insertion, formation… En créant son institut dédié aux différents métiers du milieu, le festival Séries Mania ajoute une nouvelle pièce à la construction d’un écosystème.

Un journaliste traqué, incarné par un Colman Domingo impeccable, traverse toutes les strates d’une Amérique malade et fracturée. Un projet ambitieux mais qui manque de souffle.

En s’appuyant sur des textos romantiques issus du compte Instagram éponyme, la deuxième saison de la série explore avec réalisme et poésie l’amour en 2024.

La minisérie avec Keira Knightley et Ben Whishaw démarre comme un thriller haletant mais s’empêtre dans ses intrigues sentimentales et ses ruptures de ton.

Des premiers refus au succès industriel, le livre foisonnant de Brian Baumgartner et Ben Silverman dissèque la série déjantée au long de 400 pages d’entretiens avec ses acteurs, showrunners et scénaristes.

«Libé» vous guide dans la jungle des sorties séries, d’où émergent cette semaine un docu-série consacré à l’ex-trader qui jouait avec 50 milliards et une production Star Wars qui admet enfin s’adresser aux enfants.

A rebours de toutes les séries de la franchise sorties jusqu’ici, «Skeleton Crew» assume pleinement sa nature de programme à destination des enfants, sorte de version édulcorée des «Goonies» à l’esthétique rétrofuturiste sans saveur.

«Libé» vous guide dans la jungle des sorties séries, d’où jaillissent cette semaine un polar queer-friendly en Jamaïque signé Marlon James, et un «Dix pour cent» du french cancan.

Le romancier Marlon James signe une série policière originale et queer-friendly, qui nous plonge dans une Jamaïque où demeurent les stigmates du colonialisme et de l’esclavagisme.

Production grand public à l’arrière-goût pas désagréable de «Dix pour cent», la nouvelle série de Marc Fitoussi court après une magie salvatrice qu’il ne fait que toucher du doigt.

«Libé» vous guide dans la jungle des sorties séries, d’où émergent cette semaine un blockbuster de science-fiction inerte et un show réac sur les cowboys de l’industrie pétrolière. Pas grave: il y a plein de choses à rattraper ce mois-ci.

Sur Paramount+, la création du prolixe Taylor Sheridan suit la même recette que les précédentes («Yellowstone», «Tulsa King»…) avec son parangon de mâle américanité qui se heurte au monde moderne. Mais cette fois, on traîne des santiags.

Situé 10 000 ans avant les événements du ­best-seller de Frank Herbert, le spin-off inerte et purement décoratif retrace sur Max l’essor d’un ordre politico-religieux à l’influence tentaculaire.

«Libé» vous guide dans la jungle des sorties séries, d’où émergent cette semaine une merveilleuse création espagnole avec des extraterrestres et un ovni américain plein d’humains bizarres.

Mélange des genres inattendu, la sublime série espagnole conte sur plusieurs époques le destin d’une famille dysfonctionnelle et de sa mutation en secte et groupe pop improbable. L’une des plus belles séries de l’année.

L’œuvre, dans laquelle l’humoriste joue lui-même un narrateur omniscient venant en aide aux autres, brouille les frontières entre fiction, documentaire et télé-réalité. Perturbant et plaisant.

Dans un documentaire en trois épisodes diffusés sur la plateforme américaine Peacock à partir du mardi 19 novembre, des enregistrements audio inédits de l’ancien leader de la secte démontreraient qu’il est responsable d’autres atrocités.

«Libé» vous guide dans la jungle des sorties séries, d’où émergent cette semaine les créations de Thomas Lilti et Debora Cahn de retour avec de très belles saisons.

Mensonges, béquilles, souffrances… La formidable œuvre créée par Debora Cahn revient sur Netflix avec une deuxième saison raccourcie et beaucoup plus sombre.

Après une demande de libération conditionnelle formulée la semaine passée, Erik et Lyle Menendez, condamnés à la prison à perpétuité pour les meurtres de leurs parents à Beverly Hills en 1989, demandent à être graciés.

Après le superbe «Disclaimer» et la surprise «Culte», «Libé» s’est plongé dans la politique fiction selon France Télés et les délires fanatiques de la coréenne «Hellbound».

Des manifestations homophobes ont eu lieu à Séoul contre la diffusion du K-drama «Love in the Big City», où figure notamment une histoire d’amour entre deux hommes.

Pierre Schoeller adapte un livre de l’ancien Premier ministre dans un thriller de campagne présidentielle, certes prenant mais aussi fade politiquement qu’emprunté dans son style.

Trois ans après son premier volet, la série sud-coréenne, ambiance secte et jugement dernier, creuse sa mythologie dans une veine plus cynique et haletante, au risque de perdre en subtilité.

Marie Colomb incarne Loana, première star de la téléréalité française, dans une nouvelle série, "Culte", consacrée aux coulisses de la première émission du genre diffusée en France en 2001, "Loft Story".

A peine remis de la superbe série d’Alfonso Cuarón, «Libé» s’enthousiasme pour une mini-série qui, en regardant les coulisses de la création de «Loft Story», raconte un changement d’ère.

Sur Amazon Prime, la production de Matthieu Rumani et Nicolas Slomka revient sur les origines de la première télé-réalité française. Reléguant l’aspect trash, ses créateurs mettent en récit la polarité entre Laroche-Joubert et Loana.

Rencontre nostalgique avec l’héroïne des années 1990, figée dans son personnage de l’époque.

Cette semaine, Alfonso Cuarón signe un grand récit paranoïaque où l’on doute de tout tandis que Just Philippot manque d’acuité avec sa victime mythomane du Bataclan.

La première production française de la plateforme Max revient sur l’affaire de «la mythomane du Bataclan» avec une réussite mitigée, entre abîmes de misère affective et formatages de thriller sociétal.

Portée par Cate Blanchett et Sacha Baron Cohen, la série sur une révélation et ses conséquences, est splendide à contempler. Chaque scène frappe avec force grâce à ses couleurs, ses textures et ses mouvements. Sur Apple TV +.

Dans la presse, M6 entretenait le mythe d’une séparation sans «incompatibilité d’humeur ou facherie» avec deux acteurs. Une version désormais contredite, sur fond de soupçons de racisme, dans une enquête de Mediapart parue le 26 septembre.

«Libé» vous guide dans cette rentrée chargée et laborieuses en matière de séries télé.

La série de Julien Gaspar-Oliveri est un récit intime et bouillant sur l’adolescence à travers la préparation d’une pièce de fin d’année.

Sous ses grands airs de série lettrée où un journaliste parisien retourne sur ses terres, la nouvelle création d’Erwan Le Duc accumule les effets ringards d’une mauvaise télévision policière hexagonale.

L’athlète sud-coréenne, dont l’habileté, le style et la nonchalance avaient conquis le public lors des Jeux de Paris 2024, a obtenu un rôle dans la future série «Crush», a annoncé ce vendredi la société de divertissement Asia Lab.

Ni film noir ni récit fantastique, le spin-off de «Batman» avec Colin Farrell dans le rôle du super-vilain est un triste pastiche scorsesien, sur fond de crime organisé italo-américain.

La série qui a pour cadre le Japon du XVIIe siècle a triomphé, dimanche 15 septembre aux Emmy Awards, avec le prix de la meilleure série dramatique et un nombre record de récompenses.

Malgré un cadre splendide et un casting de stars, avec Nicole Kidman et Isabelle Adjani, la série sur un fastueux mariage perturbé par un meurtre manque de mordant.