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«Le Sens des choses» : le carnet de doutes d’une rabbine débutante

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Libre adaptation du livre de Delphine Horvilleur, la série drôle et profonde de Noé Debré et Benjamin Charbit suit les premiers pas d’une rabbine en proie aux doutes et aux questionnements.
Déjà remarquée sur «Drôle», Elsa Guedj est merveilleuse dans «le Sens des choses». (Max)
publié le 28 mars 2025 à 17h08

Léa n’a pas choisi la facilité : d’abord, elle exerce un métier que personne ne sait nommer (Rabbine ? Femme-rabbin ?) ; ensuite, elle le fait au grand dam de son père, psy athée tendance pessimiste ; enfin, elle a choisi la voie libérale, pas toujours bien vue par les représentants plus traditionnels de la tradition juive, elle qui ne porte pas la kippa, considérant «ne pas avoir besoin de s’attribuer les rituels liturgiques masculins». Le Sens des choses explore ses premiers pas, loin d’être assurés, dans ses nouvelles fonctions alors qu’elle vient d’être engagée dans une minuscule synagogue de Strasbourg.

Création du très prolifique Noé Debré (Parlement, qui va bientôt entamer sa saison 4, le film le Dernier des juifs, et la série Zorro), ici à nouveau accompagné de son complice de Zorro Benjamin Charbit, le Sens des choses est très librement adapté du livre de Delphine Horvilleur,