Et de vingt: le Parlement de la République de Chypre a ratifié cet après-midi le traité de Lisbonne par 31
voix contre 17, celle du parti communiste (Akel). Pourtant, le président chypriote, Demetris Christofias, lui-même membre du parti communiste, a apporté son soutien au traité...
La Suède a annoncé, par ailleurs, qu’elle allait poursuivre le processus de ratification qui devrait être achevé en décembre prochain: «c’est bien que (ce) processus se poursuive de manière à ce que nous ayons à la fin de l’année une vue d’ensemble de la situation en Europe», a ainsi déclaré la ministre suédoise des affaires européennes, Cecilia Malmström.
Parmi les vingt ayant ratifié, l’Allemagne et la Pologne posent encore problème. Le président allemand a décidé de ne pas signer la loi votée par le Parlement en attendant que le Tribunal constitutionnel de Karlsruhe se prononce sur la constitutionnalité du traité. Le président polonais, lui, joue la montre sans aucune justification juridique. Parmi les six pays n’ayant pas encore ratifié le texte, seule la Tchéquie est incertaine.