Aujourd’hui, dans Libération, je reviens sur la maladresse du chef de l’Etat qui a énoncé à voix haute une
évidence: pour que le traité de Lisbonne puisse entrer en vigueur, il faudra que les Irlandais revotent et votent oui. Sinon, le traité sera définitivement enterré (mon article est
[ ici ]
). Vous pouvez aussi lire
[ l’entretien ]
avec Rossa Fanning, avocat, enseignant à l’University College de Dublin et collaborateur du quotidien Irish Times.