
a reconnu, aujourd’hui, devant le Parlement européen, Jean-Claude Juncker. Une belle autocritique du président de l’Eurogroupe et premier ministre du Luxembourg. Encore une fois, l’Europe et le reste du monde ont pensé, à tort, qu’ils ne dépendaient plus autant des Etats-Unis. Un beau pêché d’orgueil. Ce n’est pas un hasard si l’élection américaine est suivi avec une telle fébrilité par l’ensemble de la planète: Washington est décidément la Rome des temps modernes...