
Cela étant, on ne peut que se réjouir que des personnalités brisent ainsi la règle non écrite qui veut qu’on ne soit pas candidat pour un poste européen. Vaira Vike-Freiberga a d’ailleurs dénoncé, aujourd’hui, dans le quotidien espagnol El Mundo, les tractations menées « comme toujours, dans l’obscurité et derrière les portes » : « cela suffit que l’Union fonctionne comme l’ex-Union soviétique ». Une sortie qui va plaire à son corps électoral, les vingt-sept chefs d’État et de gouvernement.