
Trichet estime que le nom de « FME » n’est pas « nécessairement approprié car il ne s’agit en fait pas d’un soutien monétaire, mais de la possibilité d’accorder des crédits non subventionnés et assortis d’une grande conditionnalité » à des Etats de la zone euro en difficultés. « Je comprends l’idée qui est de disposer d’une grande conditionnalité en ce qui concerne l’emploi de mesures de soutien pour des pays en particulier ».
Par ailleurs, Trichet a souligné que la BCE avait rarement qualifié de « convaincant » un plan d’assainissement budgétaire. Pour vous donner une idée plus précise des mesures adoptées par le gouvernement grec, vous pouvez télécharger ici une lettre d’information éditée par Athènes.