Menu
Libération
Blog «Géographies en mouvement»

Pourquoi les femmes n'ont pas leur plaque dans les rues

FéminCité a voulu changé le nom de rues de Paris en leur donnant de femmes oubliées comme Simone de Beauvoir, Florence Arthaud, l’aventurière, Lise Meitner (physicienne) et Assia Djebar.
Le 26 août à Paris Femicité August 26, 2015 in Paris shows a placard reading "Simone de Beauvoir street" is sticked on a street sign of the "Ile de la Cite" by members of French feminist organisation "Femicite". This action aims at increasing awareness of the fact that only 2.6% of the Parisian streets are named after famous women. AFP PHOTO THOMAS SAMSON (AFP)
publié le 31 août 2015 à 11h36
(mis à jour le 31 août 2015 à 12h26)

Une vieille dame m'agrippe un jour de marché dans une petite ville de Provence : «Monsieur, vous qui êtes géographe, vous allez me dire pourquoi on a changé le nom de ma rue que j'aimais bien. Qu'est-ce qu'elle embêtait la mairie, ma « Rue du Pré » ? On lui a donné un nom de femme, vous pensez! Un nom de femme, un nom tout simple. – Moi : elle s'appelle comment maintenant, votre rue ? – Rue Lamartine. » Lire la suite sur Geographica

Les ouvrages en crochet de l’artiste Baudô accrochés au grille du parc situé à l’arrière de Notre-Dame le 26 août, par l’association FémiCité rappellent les noms de femmes oubliées comme Assa Djebar. Photo Thomas Samson AFP.

------

Pour en savoir plus sur cet usage des noms de lieux,

Geographica

a publié

(en partenariat avec

)