Tout part d'un tweet envoyé le 14 novembre après les attentats de Paris alors que le philosophe est en Amérique du Sud. De l'autre bout de la terre, il tweete, sans prendre la mesure de l'émotion qui saisit le pays, incapable encore d'entendre ce qu'il veut dire. «Droite et gauche qui ont internationalement semé la guerre de l'islam politique récoltent nationalement la guerre de l'islam politique.» Dans le Miroir aux alouettes, il revient sur son propos. «Le règlement violent des problèmes de l'islam génère et générera en retour des réponses violentes.» Son tweet ne fut pas compris ainsi, mais comme un manque de considération envers les victimes, voire un soutien aux terroristes. Le «délire» sur la Toile fut tel que l'intellectuel ferma son compte twitter.