La mémoire vive d’Angelo, de la prison à la violence policière
Le 23 février s’est tenue une réunion publique à Blois pour évoquer la fin tragique d’Angelo Garand, tué par le GIGN il y a près d’un an, dans le Loir-et-Cher, à 37 ans. Nous publions une version abrégée de l’intervention du chercheur en sciences sociales Didier Fassin.