TRIBUNE

La mémoire vive d’Angelo, de la prison à la violence policière

Le 23 février s’est tenue une réunion publique à Blois pour évoquer la fin tragique d’Angelo Garand, tué par le GIGN il y a près d’un an, dans le Loir-et-Cher, à 37 ans. Nous publions une version abrégée de l’intervention du chercheur en sciences sociales Didier Fassin.
publié le 27 février 2018 à 18h06
(mis à jour le 27 février 2018 à 18h10)

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