Interview

Claire Marin : «Nous sommes dans le déni de la souffrance qu’une rupture provoque»

Mort, séparation, exil, maladie, accident, perte de travail ne sont pas que de simples épisodes de vie qu’une flexibilité existentielle effacerait vite. Ce sont aussi des «cataclysmes intérieurs», souligne la philosophe dans son dernier essai, ressentis violemment, physiquement. Nous sommes tous des êtres rompus.
publié le 10 avril 2019 à 18h36

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